Selon le secrétaire général To Lam, il est nécessaire de supprimer les barrières institutionnelles et de prendre des mesures pour encourager l’investissement, l’acceptation du risque et l’aventure.
Le 15 février, l'Assemblée nationale a discuté en groupes du projet de résolution de l'Assemblée nationale visant à piloter un certain nombre de politiques visant à éliminer les obstacles aux activités scientifiques, technologiques et d'innovation.
S'exprimant lors de la réunion, le secrétaire général To Lam a souligné l'importance et l'urgence d'élaborer et de promulguer cette résolution pilote. Il s’agit de la première étape importante vers l’institutionnalisation de la résolution 57 du Politburo sur les avancées scientifiques, technologiques, innovantes et la transformation numérique nationale.
Selon le Secrétaire général, la résolution 57 a été émise dès la fin de 2024, mais pour la mettre en pratique, il y a encore beaucoup de difficultés, il faut modifier un certain nombre de lois et au plus tôt cela doit être d'ici le milieu de cette année ou même d'ici la fin de l'année. Si tel est le cas, la résolution 57 ne pourra pas être mise en œuvre d’ici 2025, ou si elle l’est, elle n’aura aucun sens. Il est donc recommandé d’élaborer un document permettant de mettre rapidement en pratique la Résolution 57. C’est aussi la raison pour laquelle l’Assemblée nationale a été obligée de tenir cette session extraordinaire pour résoudre des questions inhabituelles.
Le Secrétaire général a souligné que l'Assemblée nationale a adopté d'urgence une résolution pilote pour non seulement éliminer les difficultés et les obstacles, mais aussi contribuer à promouvoir et à encourager le développement de la science et de la technologie.
Le Secrétaire général a souligné que, par exemple, dans la loi sur les appels d'offres, si nous fabriquons des machines comme le prévoit actuellement la réglementation, nous n'achèterons que des produits technologiques bon marché, qui deviendront à terme un « dépotoir technologique » et seront toujours à la traîne. « Dans le choix de la technologie, nous devons prendre des raccourcis », a souligné le secrétaire général.
Citant la loi fiscale, le Secrétaire général a déclaré qu'il devrait y avoir des mesures pour encourager le développement et que s'il existe des exonérations et des réductions fiscales appropriées et raisonnables, il est même possible de collecter davantage d'impôts. L’année dernière, le gouvernement a proposé des exonérations et des réductions d’impôts, mais les recettes fiscales ont augmenté. « Lors de la récente réunion du gouvernement, j'ai été très ému d'entendre le Premier ministre déclarer que les exonérations et réductions d'impôts et les taux d'intérêt des prêts bancaires ont contribué à stimuler le développement des entreprises et, par conséquent, à collecter davantage d'impôts », a déclaré le secrétaire général.
En ce qui concerne le goulot d'étranglement dans le développement de la science et de la technologie de la loi sur les entreprises, le Secrétaire général a déclaré qu'il devrait également y avoir un mécanisme d'incitation raisonnable et que nous ne devrions pas nous limiter. Par exemple, les universités et les institutions scientifiques doivent coopérer avec les entreprises.
À partir de là, selon le Secrétaire général, il est nécessaire de supprimer les barrières institutionnelles de manière ordonnée et tout le monde doit travailler ensemble et avancer dans la bonne direction. En même temps, il faut des incitations à l’investissement, il faut accepter des risques, prendre des risques et cela prend du temps.
Le Secrétaire général a souligné que la science et la technologie sont un désert et que celui qui peut y entrer et gagner est le gagnant. Pas de risque, pas de gain. Français La résolution de piloter un certain nombre de politiques pour éliminer les obstacles dans les activités scientifiques, technologiques et d'innovation est la première étape pour institutionnaliser la Résolution 57. À long terme, il est nécessaire de continuer à modifier les lois, en premier lieu la Loi sur la science et la technologie, pour qu'elles soient cohérentes, proches de la réalité, répondent aux exigences et bénéficient de la consultation d'experts et de scientifiques", a souligné le Secrétaire général, affirmant en même temps que nous devons innover dans la pensée, dans les façons de faire, regarder directement la réalité pour trouver des moyens d'éliminer les obstacles et ne pas avoir peur des problèmes.
Source : https://daidoanket.vn/tong-bi-thu-khi-lua-chon-cong-nghe-phai-di-tat-don-dau-10299960.html
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