Les réglementations sur les factures et les documents entraînent une augmentation des coûts pour les entreprises

VietNamNetVietNamNet13/11/2023


Il s’agit du contenu notable du document que le VCCI vient d’envoyer au ministère des Finances concernant les commentaires sur le projet de décret relatif à la réglementation des factures et des documents.

Dans ce document de commentaires, VCCI a souligné de nombreux points qui sont désavantageux pour les entreprises.

Selon le projet, les établissements de vente au détail et les chaînes de restauration ne sont pas autorisés à émettre des factures à la fin de la journée, mais doivent émettre des factures pour chaque achat à partir de caisses enregistreuses disposant de connexions de données avec les autorités fiscales.

Toutefois, selon les entreprises, cette réglementation augmente considérablement les coûts d’investissement initial ainsi que le processus de maintenance des systèmes et des données.

Commentant cette réglementation, le VCCI a noté que cela créerait une forte pression sur le commerce de détail et les chaînes de restauration.

supermarché 1.jpg
VCCI estime que la réglementation imposant l'émission de factures à chaque achat plutôt qu'à la fin de la journée entraîne de nombreux coûts pour les entreprises de vente au détail et de services. (Photo: Anh Nguyen)

En ce qui concerne la réglementation sur l'émission de factures pour les entreprises de transport de passagers utilisant des taxis avec un logiciel de calcul de tarifs, VCCI estime que la réglementation sur l'envoi des données de facture de taxi aux autorités fiscales après chaque trajet, selon les commentaires des entreprises, peut entraîner certaines difficultés dans le processus de mise en œuvre.

Par exemple, le coût de mise à niveau des logiciels des compagnies de taxi augmente, les chauffeurs de taxi oublient/ont du mal à effectuer des opérations, ce qui entraîne des embouteillages...). Les entreprises peuvent alors être sanctionnées par une amende si elles transfèrent des données au mauvais moment.

Par conséquent, le VCCI recommande au ministère des Finances de réexaminer la réglementation, notamment en évaluant l’impact sur les coûts et les avantages, et d’apporter des modifications pour faciliter les opérations commerciales.

En ce qui concerne les factures de remises commerciales, le projet prévoit que le montant de la remise créée après la fin du programme de remise sera ajusté par facture.

Cependant, selon les entreprises, cette réglementation créera une énorme quantité de travail car chaque facture de régularisation ne peut être appliquée qu'à une seule facture, alors que les entreprises peuvent échanger plusieurs articles et avoir plusieurs programmes promotionnels différents, chaque programme étant appliqué à chaque article.

Cela entraîne une augmentation significative du nombre de factures, générant des coûts et des ressources pour l’entreprise. Si une facture permet d'ajuster plusieurs factures, répertorier la facture de remise crée également une charge pour l'entreprise et dépend de la capacité du système à la gérer ou non.

En outre, dans de nombreux cas, les entreprises ne peuvent déterminer si les clients remplissent les conditions qu'à la fin du programme, tandis que les factures peuvent survenir sur plusieurs périodes de déclaration, ce qui les oblige à toujours ajuster la déclaration de TVA. Cela crée une divergence entre les livres comptables et les déclarations fiscales, ce qui rend le contrôle difficile, en particulier pour les entreprises qui sont tenues de divulguer leurs états financiers.

Par conséquent, le VCCI recommande au ministère des Finances d’envisager d’ajouter un principe permettant aux entreprises d’émettre une facture d’escompte (et non une facture de rajustement) et d’y joindre une liste.

Le projet stipule que les entreprises doivent émettre des factures fiscales dans les cas suivants : exportation temporaire en vue de réimportation, importation temporaire en vue de réexportation de matières premières, de produits finis, de machines, d'outils et d'équipements ; Exporter des marchandises sous forme de prêts, d’emprunts ou de réception de retours de marchandises.

Mais selon le VCCI, selon les retours des entreprises, cette réglementation est inappropriée. Car lors de la réalisation des activités susmentionnées, les entreprises doivent effectuer des procédures douanières et émettre des factures commerciales conformément à la réglementation. Cette activité a été strictement contrôlée par les autorités douanières conformément à la législation douanière.

Dans le même temps, cette activité n’est pas une activité de vente ou de service et n’a pas pour but de générer des bénéfices ou des revenus sur le marché vietnamien, mais uniquement de soutenir les activités de production d’exportation.

À ce moment-là, l'obligation d'émettre des factures fiscales nationales supplémentaires créera des procédures administratives supplémentaires et augmentera les ressources humaines de l'entreprise. Par conséquent, le VCCI a également suggéré que l’organisme de rédaction supprime ce règlement.

Concernant la réglementation selon laquelle les factures doivent indiquer le code d'identification de l'acheteur, la VCCI a déclaré que les entreprises considèrent cela comme irréalisable car exiger des acheteurs qu'ils déclarent des informations sur le code d'identification constituerait un « point de blocage », amenant les acheteurs à ne pas vouloir recevoir de factures parce qu'ils ne veulent pas déclarer ces informations.

De plus, le vendeur ne dispose pas non plus d'un mécanisme lui permettant de confirmer si le code d'identification fourni par l'acheteur est correct ou répond aux conditions de « code d'identification légal et d'authentification électronique » devant figurer sur la facture.

Cela entraînera des risques pour les entreprises lors de l’émission des factures. Par conséquent, le VCCI recommande à l’organisme de rédaction de reconsidérer ce règlement.

Proposition visant à supprimer le plafond de 30 % des intérêts sur les prêts calculés dans les coûts des entreprises nationales . L'Association immobilière de Hô Chi Minh-Ville (HoREA) a proposé de modifier le décret 132 pour supprimer le plafond de 30 %, car elle estime que cela n'est pas raisonnable ; a fait en sorte que l’image des investissements, de la production et des activités commerciales des entreprises ne soit pas reflétée de manière honnête et rapide.


Source

Comment (0)

No data
No data

Même sujet

Même catégorie

Explorez le parc national de Lo Go-Xa Mat
Marché aux poissons de Quang Nam - Tam Tien dans le Sud
L'Indonésie a tiré 7 coups de canon pour accueillir le secrétaire général To Lam et son épouse.
Admirez les équipements de pointe et les véhicules blindés exposés par le ministère de la Sécurité publique dans les rues de Hanoi

Même auteur

Patrimoine

Chiffre

Entreprise

No videos available

Nouvelles

Ministère - Filiale

Locale

Produit