Le 4 décembre, selon un haut responsable de la sécurité israélienne, l'agence de renseignement du pays tente de retrouver le chef du Hamas, Yahya Sinwar.
Bâtiments détruits par les frappes aériennes israéliennes dans le camp de réfugiés palestiniens de Jabalia, dans la ville de Gaza. (Source : Getty) |
Selon le responsable, lors d'une conférence des dirigeants israéliens, les agences de renseignement du pays ont admis avoir mal évalué l'ampleur et les activités militaires du Hamas dans la région de l'hôpital Shifa, dans le nord de la bande de Gaza.
Des responsables israéliens ont affirmé que le départ du leader Sinwar pourrait changer la décision du Hamas de libérer les otages.
L'armée israélienne s'emploie actuellement à pacifier le nord de la bande de Gaza et se prépare à envoyer des troupes terrestres dans les régions de Khan Yunis et de Rafah, au sud du territoire.
Dans un autre communiqué, le même jour, le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a déclaré que « de nombreux civils palestiniens innocents paient le prix de la guerre dans la bande de Gaza ».
Le dirigeant du pays sud-américain a appelé les Nations Unies à intervenir et a souligné que la seule solution pour résoudre le conflit israélo-palestinien est la création de deux États.
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