M. Nguyen Van On, directeur adjoint du Département des douanes de Ho Chi Minh-Ville, a déclaré que depuis la mise en œuvre de la phase 5 de la campagne, le Département des douanes de Ho Chi Minh-Ville a détecté et empêché 18 violations et la plupart d'entre elles ont été transférées à l'agence de police pour une enquête plus approfondie conformément à leur autorité. Plus récemment, dans une cargaison exportée vers l'Australie en septembre, les douanes de la ville ont découvert que 36 sacs de différents types contenaient des sacs en plastique cachés et scellés avec du ruban adhésif contenant près de 3,2 kg d'héroïne ; découvert et saisi près de 4 kg d'héroïne cachés à l'intérieur d'un purificateur d'eau exporté par avion en octobre dernier...
Pour éviter le contrôle des autorités douanières, les suspects ont utilisé la même astuce consistant à exporter des marchandises contenant de la drogue cachée vers Singapour et les Émirats arabes unis avant d'arriver en Australie. Les douanes de la ville ont notamment déclaré avoir découvert un nouveau type de drogue, un composé synthétique sous forme de poudre mélangé à de la méthamphétamine, de la MDMA, du nimétazépam, conditionné dans du jus de raisin (Crispy Fruit) et caché entre des bouteilles de crème pour la peau destinées à l'exportation à l'étranger.
La source des drogues découvertes et saisies par les forces douanières de Ho Chi Minh-Ville provient principalement de la région du « triangle d'or », via le Cambodge et le Laos jusqu'aux provinces frontalières, introduites en contrebande à Ho Chi Minh-Ville pour être consommées et cachées dans des entrepôts dans les quartiers de banlieue. Les drogues étaient déguisées en marchandises, par l'intermédiaire de sociétés créées par les sujets, exportées vers Taiwan, Hong Kong (Chine), Singapour, l'Australie...
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