DNVN - M. Nguyen Van Dinh - Vice-président de l'Association vietnamienne de l'immobilier, président de l'Association vietnamienne des courtiers immobiliers (VARS) a déclaré que la plupart des entreprises doivent effectuer « à elles seules » le déblaiement des sites, ce qui entraîne de nombreuses difficultés dans la construction de logements sociaux...
Le nouveau corridor juridique, notamment la loi sur le logement 2023, a ajouté beaucoup d’espoir au développement du segment du logement social. De nombreux problèmes avec les investisseurs et les bénéficiaires des polices d’assurance ont été résolus. Les mesures ci-dessus auraient créé une grande impulsion, aidant ce segment à obtenir de nombreux résultats révolutionnaires dans la nouvelle ère.
Cependant, M. Nguyen Van Dinh, vice-président de l'Association immobilière du Vietnam et président de la VARS, a déclaré que dans le processus d'investissement dans le développement du logement social, il existe en réalité encore de nombreuses difficultés et préoccupations pour de nombreuses raisons.
L’un des plus gros obstacles pour les entreprises lorsqu’elles décident de construire des logements sociaux est la question du foncier. Bien qu'il existe des réglementations obligeant les localités à allouer de manière proactive des fonds fonciers pour développer des logements sociaux, en réalité, la plupart des entreprises doivent « se débrouiller seules ». Même lorsque les entreprises disposent de terrains, elles sont parfois confrontées à des difficultés.
Pour résoudre ce « goulot d’étranglement », selon le président de la VARS, il est nécessaire d’avoir un état d’esprit complètement innovant lié au rôle et à la coopération entre l’État et les entreprises. L’État doit donc jouer un rôle moteur dans la récupération des terres et l’attribution des projets aux entreprises. L’entreprise sera responsable des coûts nécessaires pour garantir ses obligations financières.
Concernant les processus procéduraux, selon M. Dinh, si le logement social est déterminé comme une catégorie « prioritaire », il faut assurer la cohérence et la mettre en œuvre de manière rigoureuse. Toutes les questions liées à l’investissement dans le développement du logement social doivent être prioritaires. Ce n’est qu’à ce moment-là que les entreprises s’intéresseront à ce segment, donnant ainsi à l’offre de ce segment une chance de s’améliorer considérablement.
Actuellement, les procédures liées aux investissements dans le développement de projets de logements sociaux sont équivalentes à celles des projets de logements commerciaux, avec des étapes d’examen encore plus minutieuses. Cela rend les affaires plus difficiles et prend plus de temps à mettre en œuvre.
Les autorités doivent donc rapidement mener des recherches et émettre des réglementations spécifiques concernant spécifiquement les investissements dans le développement de projets de logements sociaux. Il est notamment possible de réduire certaines étapes, de minimiser le temps de réponse, de renvoyer les résultats de chaque étape et d’exiger une intervention plus urgente des agences de gestion de l’État et des autorités locales.
Cela est tout à fait approprié, car face à une tâche commune urgente, tous les groupes concernés doivent avoir une responsabilité plus élevée que d’habitude. De plus, il est nécessaire d’envisager et de considérer les options post-audit pour raccourcir les délais. La responsabilité incombera aux entreprises et aux bénéficiaires des politiques, ce qui exercera une pression sur ces deux groupes pour qu’ils « fassent ce qu’il faut ».
« Une plus grande décentralisation vers les autorités locales dans certaines étapes d'inspection contribuera également à accélérer la mise en œuvre de certaines étapes procédurales », a recommandé M. Dinh.
Ha Anh
Source : https://doanhnghiepvn.vn/kinh-te/bat-dong-san/go-nut-that-cho-doanh-nghiep-lam-nha-o-xa-hoi/20250307092653322
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