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Dès l'instant où l'on traverse la rivière, la lumière de l'amour ouvre le chemin du retour vers l'origine.

Việt NamViệt Nam13/03/2025


Vo Van Luyen, nom de plume Hong An Thy, est un professeur et poète polyvalent, toujours pleinement attaché à sa patrie Quang Tri. Il est né et a grandi dans le village de Thi Ong, commune de Hai Vinh, district de Hai Lang - une bonne terre riche en identité culturelle.

La poésie de Vo Van Luyen se distingue par son langage raffiné, ses images uniques et ses émotions profondes. Des œuvres telles que Agarwood of the Wind (2003), The Virginity of the Candle (2007), The Fishing Man's Shadow (2011) et Crossing the River (2024) apportent une beauté poétique, ouvrant des pensées profondes multidimensionnelles sur la vie, l'amour et le lien entre les humains et l'univers.

Dès l'instant où l'on traverse la rivière, la lumière de l'amour ouvre le chemin du retour vers l'origine.

Avec son dévouement et son amour intense pour la littérature, Vo Van Luyen a remporté de nombreux prix prestigieux, notamment le Prix A de littérature et d'arts du Vietnam 2022 et les prix de création littéraire et artistique de la province de Quang Tri.

En particulier, l'ouvrage From Crossing the River, publié par la maison d'édition de l'Association des écrivains en septembre 2024, a reçu le prix B de littérature et d'arts créatifs de la province de Quang Tri en 2024. Ces réalisations affirment la position de Vo Van Luyen dans la littérature contemporaine, démontrant sa mission de diffuser l'inspiration et de préserver l'identité culturelle nationale à travers chaque page de son livre.

Les lecteurs ont reçu le recueil de poésie From Crossing the River et ont réalisé que le thème « La lumière de l'amour ouvre le chemin du retour à l'origine » est un point culminant philosophique profond, ouvrant la profondeur de l'exploration du rôle de l'amour dans le voyage pour trouver l'essence de la vie. L'amour, dans la poésie de Vo Van Luyen, a un sens large, est une source de pouvoir extraordinaire, la lumière qui conduit les gens à découvrir l'origine de l'univers et à atteindre la véritable existence.

Ici, l’amour transcende les sentiments personnels pour devenir une connexion vaste et globale, peut-être une relation avec le monde, la nature et la valeur sacrée de la vie. La lumière de l’amour dans Crossing the River est la lumière de l’éveil, illuminant les mystères de la vie, aidant les gens à surmonter les défis et ouvrant la voie à l’harmonie, à la paix et à une compréhension profonde de la nature de la vie.

La poésie de Vo Van Luyen inspire ainsi les gens à revenir à eux-mêmes, avec une âme pure et claire, à ressentir la connexion invisible avec toutes les choses qui les entourent et à trouver l'origine de la vie dans la lumière de l'amour.

Dans From Crossing the River, l'amour apparaît avec des émotions juvéniles, pures et douces, mais comporte également des collisions, des conflits et de la confusion dans la première vie. Cet amour n’est pas encore empêtré dans l’anxiété mais fait également face à des émotions incontrôlées. Des vers poétiques comme « douce enfance » ou « nouvel amour » (Love talk) rappellent la pureté et la simplicité de l’amour lorsque les gens ne connaissent pas encore les complexités de la vie. Cependant, cet amour contient des contradictions inévitables, qui sont la première étape pour que cette émotion mûrisse au fil du temps.

À mesure que l’amour commence à mûrir, il est également confronté à des défis et à des souffrances. Les poèmes Phuong, Phan Beo et Niem Thuong Dau décrivent le côté sombre de l’amour, où il y a séparation, perte et souffrance. Le flamboyant royal est l'image de la séparation, du regret lorsque la jeunesse passe mais porte également le message que l'amour continue de fleurir. Le destin de la lentille d'eau évoque l'image d'un amour impermanent et flottant, devant toujours endurer l'incertitude de la vie.

Cependant, dans cette situation, les gens trouvent encore la liberté et l'amour devient un voyage pour trouver le sens de la vie : « Tu es loin/ l'amour n'a pas assez de soleil/ alors nous sommes séparés (...) mille ans d'herbe sauvage/ secouer toute la douleur/ en échange d'un rire/ ce jour-là où nous étions encore ensemble » (Remembering Pain) reflète la perte et l'angoisse de l'amour lorsqu'on est séparé et est un éveil sur la nature de la vie et du véritable amour.

Lorsque l’amour fait partie du voyage vers la réalisation de soi, il faut faire face à des vérités, des choix et des défis plus profonds. Dans des poèmes comme Farewell, End, Nocturne, Night Sun... l'amour est un voyage pour trouver soi-même. L'adieu est une séparation mais aussi une prise de conscience de l'impermanence de la vie. Lâcher prise est une lutte entre la raison et l’émotion.

La lumière de l’amour est une source d’énergie pure, aidant les gens à s’éveiller à leur vraie nature et au sens profond de la vie. Dans cette optique, l’amour est un voyage à travers les « Saisons de la tristesse », aidant les gens à réaliser l’impermanence – que tout change, rien ne dure éternellement. Cette prise de conscience n’apporte pas le désespoir mais éveille la lumière de l’amour, traverser l’amertume devient la force de vivre plus sincèrement et plus tolérantement.

L’amour dans From the Crossing the River est une relation personnelle qui se transforme en amour de l’humanité et en amour de la vie. L'amour de la vie dans le recueil de poésie From Crossing the River de Vo Van Luyen est un flux continu, reliant les gens à la communauté, à la patrie et au monde qui les entoure. Cet amour est dépeint par l’auteur à travers des images intimes et significatives, associées à la responsabilité et à l’harmonie entre l’individu et le collectif. Chaque couplet est comme un rythme sincère, visant l'empathie, le partage et le désir de surmonter tous les défis de la vie.

Dès qu’il a traversé la rivière, il s’est distingué par sa compassion et sa profonde empathie envers la souffrance humaine. Le poème « L'amour coule vers la zone inondable » représente des gens qui travaillent ensemble pour partager les moments difficiles. Le verset : « Chaque convoi de véhicules de secours suit la zone inondée/les cœurs connectent les cœurs, partageant l'amour » recrée l'assistance matérielle et évoque la grande signification de l'amour se propageant à travers des actions concrètes. Des milliers de cœurs battant ensemble, des milliers de mains tendues au milieu d’une inondation déchaînée sont des symboles d’un grand amour pour l’humanité, où chaque personne trouve sa force dans l’empathie et le partage. L’amour ici va au-delà de l’émotion pour se propager dans la responsabilité communautaire, un message sur le lien entre les personnes dans des circonstances difficiles.

« Sur le pont de la vie et de la mort » continue d’élargir le concept d’amour humain à travers l’expression de personnes s’aidant mutuellement à franchir la ligne entre la vie et la mort : « l’humanité s’aide mutuellement à franchir le pont de la vie et de la mort/l’humanité sera-t-elle un jour en paix ? » « Le pont entre la vie et la mort » est une métaphore qui évoque la fragilité de la vie et le désir de vivre en paix. Ici, l’amour s’exprime par la confiance, la connexion et la compassion, lorsque les gens se rassemblent dans leurs moments les plus difficiles. C'est un lieu de compassion qui s'accompagne d'une grande responsabilité, où l'amour devient la force motrice pour surmonter les plus grands défis de la vie.

La voix poétique de From Crossing the River est douce, contemplative, pleine de lyrisme mais imprégnée de philosophie. L'auteur utilise une voix poétique naturelle et douce comme une douce rivière, coulant à travers des souvenirs et des pensées profondes. Cela est clairement démontré dans « Adieu (en deuil de Thuy Huong) ». La voix du poème est calme, faisant écho à la douleur persistante et à l'angoisse de la perte : « Il est temps pour moi de partir / Toutes mes larmes ont séché / Où que soit mon corps, ça fait mal / Où que soit mon âme, c'est triste et douloureux. »

Les poèmes sont simples mais pleins d’émotion, comme des murmures du cœur, laissant un écho persistant dans l’âme du lecteur. Chaque mot, chaque ligne enregistre la douleur de la perte, transformée en métaphore de la séparation, évoquant un sentiment de flétrissement et de tristesse dans le corps et l’âme. La répétition de « Il est temps pour moi de partir » et le mot « partir » dans ce contexte transcendent leur sens habituel, devenant un symbole d’éternité et soulignant un vide qui ne peut être comblé.

Le rythme du poème « Depuis que j'ai traversé la rivière » change de manière flexible, adapté aux émotions et à chaque vers de l'article. Par exemple, dans le poème « Paix dans mon cœur », le rythme lent et doux évoque un sentiment de détente et de tranquillité dans l’âme en quête de paix dans un monde chaotique : « le rêve de paix est mûr/ un sommeil ivre de paix/ bien que les bombes et les balles aient labouré/ c’était juste hier ». L’expression « le rêve de paix est mûr » a une nuance unique, créant un sentiment de paix comme un fruit sucré qui est mûr, prêt à être cueilli.

Cette idée représente l’aspiration à la paix qui s’est perfectionnée à travers le temps et les difficultés. Le rythme du poème accroît la diffusion du message de l'auteur : la paix n'est plus une chose lointaine mais le résultat de l'espoir et de l'aspiration de chaque âme.

Les images de Tu Do Qua Song sont profondément métaphoriques, ont un fort pouvoir évocateur et ouvrent une réflexion multidimensionnelle sur l’existence. La nature dans la poésie de Vo Van Luyen est à la fois un décor, un personnage et un symbole sacré porteur de l'esprit et de l'âme humaine. Dans le poème « Le fardeau vert remplit les yeux de la rivière ! », l’image de la rivière est un symbole vivant de la vie et des souvenirs d’enfance : « les rivières laissent la vie/l’enfance remplie de boue ». La rivière évoque la douleur, rappelant aux gens la conscience écologique, la protection de la nature et la préservation des souvenirs éternels dans le voyage existentiel de chaque personne.

La patrie est également un symbole sacré qui apparaît fréquemment dans la poésie de Vo Van Luyen. Dans le poème « Tu es mes cent ans, je suis tes mille vies », la patrie est comparée à une mère, une amante, un lieu où l'on trouve réconfort et force dans les moments difficiles : « J'aime mon pays, un pays aussi dur que la vie de ma mère/trempé de sueur et de larmes, jamais un moment de découragement » .

L'amour de la vie dans la poésie de Vo Van Luyen est également élargi et dépasse les limites du temps. Par exemple, dans l'article « Visiter la tombe », l'auteur écrit : « Cent ans de retour de nos ancêtres sur la terre / Mille ans de souvenirs pour nos descendants ». Il s’agit d’un message sur la continuité entre les générations, sur l’amour et la gratitude qui ne se limitent pas au présent, mais qui sont préservés à travers les années et dans les mémoires des générations futures.

Dès la traversée du fleuve, comme une lumière guidant le chemin vers l'origine, s'ouvre un voyage poétique plein de mystère et de romantisme, explorant en profondeur l'amour et la vie. La poésie de Vo Van Luyen, à travers des mots simples, évoque un voyage pour trouver l'origine dans la lumière de l'amour - le fil magique qui relie les gens à eux-mêmes, au monde et à l'univers.

Le poète est comme un poète errant qui dérive à travers le pays de la poésie, glissant doucement à travers la rivière des souvenirs et de la vie avec de beaux vers mais pleins de sentiments profonds. Avec un langage délicat et des images symboliques pointues, il dépeint un portrait délicat de l'amour, de la vie et du désir sans fin, ouvrant la voie au retour à l'origine de l'âme de chaque personne.

Dès le moment où l'on traverse la rivière, on porte la lumière de l'amour, on illumine le chemin du retour à l'origine, on trouve la paix dans la valeur éternelle de la vie. Vo Van Luyen utilise les émotions pour amener les lecteurs à se découvrir à travers chaque verset. La poésie de Vo Van Luyen est une chanson d'amour calme et réfléchie, évoquant le voyage de la conscience de soi et la recherche de la vérité dans chaque cœur qui croit toujours en la vie.

Le Nam Linh



Source : https://baoquangtri.vn/tu-do-qua-song-anh-sang-tinh-yeu-mo-loi-ve-ban-nguyen-192204.htm

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