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« J'étais en très bonne santé avant, je n'avais jamais besoin d'aller à l'hôpital, docteur »

Báo Gia đình và Xã hộiBáo Gia đình và Xã hội22/03/2025

GĐXH - "J'ai 68 ans, j'étais en très bonne santé, je n'ai jamais eu besoin d'aller à l'hôpital, docteur !" C’est la réponse d’un patient atteint d’un cancer du rectum lors d’un séminaire de consultation sur la santé.


BSCKII. Tran Xuan Vinh, directeur adjoint du centre d'oncologie et chef du département de chimiothérapie de l'hôpital général provincial de Phu Tho, a déclaré que l'enthousiasme et l'optimisme dans les réponses des patients contrastaient complètement avec les inquiétudes des médecins. Ils n’ont presque jamais besoin d’aller à l’hôpital de toute leur vie, mais lorsque la maladie se développe, de nombreux cas sont déjà à un stade avancé, voire métastasés, ce qui rend le traitement extrêmement difficile.

Bất ngờ tâm sự của bệnh nhân ung thư trực tràng: 'Trước đây tôi khỏe lắm, chưa phải đến bệnh viện bao giờ bác sĩ ạ'- Ảnh 2.

BSCKII. Tran Xuan Vinh - Directeur adjoint du Centre d'oncologie et chef du département de chimiothérapie consulte les patients.

Du subjectif à l'hospitalisation pour cancer

Le patient est venu à l’hôpital lorsque son état de santé est devenu préoccupant. On sait qu'il y a plus de deux mois, le patient a commencé à présenter des signes de troubles digestifs : parfois constipation, parfois diarrhée. Pensant qu’il s’agissait simplement d’un trouble courant, le patient s’est rendu dans une pharmacie voisine pour acheter des médicaments.

Mais depuis près d'un mois, les symptômes se sont aggravés : il est très difficile de déféquer, parfois avec du sang. À ce moment-là, le patient a décidé de se rendre à un examen médical et on lui a diagnostiqué un cancer du rectum .

Heureusement, la maladie est encore localisée et n’a pas métastasé loin, le patient a donc encore une chance de bénéficier d’un traitement efficace. Mais si le patient avait fait un contrôle plus tôt, la maladie aurait pu être détectée à un stade très précoce, le traitement aurait été plus facile, moins invasif et le taux de survie aurait été plus élevé.

Cancer colorectal – Le tueur silencieux

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le cancer colorectal est l’un des cancers les plus courants au monde. Ce qui est inquiétant, c'est que la maladie progresse silencieusement, sans symptômes apparents aux premiers stades. Lorsque des signes tels que des troubles digestifs prolongés, des selles sanglantes, des douleurs abdominales et une perte de poids inexpliquée apparaissent, de nombreux cas sont déjà à un stade avancé, avec même des métastases au foie, aux poumons et aux os.

Bất ngờ tâm sự của bệnh nhân ung thư trực tràng: 'Trước đây tôi khỏe lắm, chưa phải đến bệnh viện bao giờ bác sĩ ạ'- Ảnh 3.

Illustration

Le cancer colorectal est-il curable ?

Le cancer colorectal est curable s’il est détecté tôt. Les options de traitement dépendent du stade auquel la maladie est détectée.

Stade I-II : Si la tumeur est toujours localisée dans le côlon/rectum, la chirurgie peut aider à éliminer complètement les cellules cancéreuses. Le taux de survie à 5 ans peut atteindre 90 %.

Stade III : Lorsque le cancer s’est propagé aux ganglions lymphatiques, une combinaison de chirurgie et de chimiothérapie est nécessaire. Le taux de survie à 5 ans tombe à 50-70 %.

Stade IV (métastases à distance) : le traitement à ce stade vise principalement à prolonger la vie et à soulager les symptômes. Le taux de survie à 5 ans est inférieur à 15 %.

Ainsi, plus tôt le problème est détecté, plus grandes sont les chances de succès du traitement.

Les erreurs qui poussent de nombreux Vietnamiens à détecter souvent le cancer à un stade tardif

L’une des raisons pour lesquelles de nombreux patients découvrent un cancer trop tard est due à la psychologie subjective. Beaucoup de gens pensent :

- Ne faites un bilan de santé qu’en cas de symptômes évidents.

- Si vous vous sentez en bonne santé, vous n’êtes pas malade.

- Peur d'aller chez le médecin de peur de découvrir la maladie.

- Aucune habitude de dépistage régulier.

Ces idées fausses rendent de nombreux patients subjectifs quant à leur santé et les empêchent de saisir l’occasion en or de détecter et de traiter la maladie à un stade précoce.

Les médecins disent que la santé est le bien le plus précieux, mais beaucoup de gens ne s’en rendent compte que lorsqu’il est trop tard. Ne laissez pas le dicton « Je vais bien, je n’ai jamais eu besoin d’aller à l’hôpital ! » deviennent des regrets plus tard.

Soyez proactif pour protéger votre santé et celle de vos proches dès aujourd’hui en effectuant régulièrement des bilans de santé et des dépistages du cancer, comme recommandé par votre médecin. Ne laissez pas la chance décider de votre destin !



Source : https://giadinh.suckhoedoisong.vn/bat-ngo-tam-su-cua-benh-nhan-ung-thu-truc-trang-truoc-day-toi-khoe-lam-chua-phai-den-benh-vien-bao-gio-bac-si-a-172250321134352386.htm

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