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La start-up technologique belge BIO INX, fruit d'une collaboration entre l'Université de Gand (UGent) et l'Université libre de Bruxelles (VUB), vient d'annoncer le développement de l'encre biologique Xpect-INX (photo) pour l'impression de parties du corps humain à l'aide d'imprimantes 3D.
BIO INX vise à apporter une contribution significative au paysage de la bio-impression 3D en développant des matériaux standardisés de haute performance. Chez BIO INX, le groupe de recherche Chimie des polymères et biomatériaux (PBM) de l'UGent développe de nouveaux biomatériaux à base de polymères, c'est-à-dire des matériaux spécifiquement conçus pour réparer ou remplacer les tissus endommagés du corps humain. Parallèlement, le groupe B-PHOT Brussels Photonics de la VUB se spécialise dans la recherche sur la photonique.
Dans cette technologie, le tissu est considéré comme le mur, les cellules sont considérées comme les briques et l'encre biologique Xpect-INX est le mortier entre les deux. La bioencre Xpect-INX rend les cellules imprimables et leur permet ensuite de se développer. L'objet étranger se décompose et se dissout progressivement jusqu'à ce qu'il ne reste finalement que du tissu pur.
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