La Grèce, en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies pour la période 2025-2026, estime que ses liens historiques avec le monde arabe et Israël lui donnent la capacité de jouer un rôle de négociateur de paix.
De la fumée s'élève à Tyr, dans le sud du Liban, le 23 septembre 2024. Photo : Reuters
« Nous sommes des amis d'Israël, des partenaires stratégiques, et nous essayons d'être sincères et ouverts avec eux », a déclaré le ministre des Affaires étrangères George Gerapetritis. Il a toutefois souligné qu’il n’y avait pas eu suffisamment de pression pour faire changer de cap Israël.
La Grèce a condamné l'attaque du Hamas du 7 octobre dernier et a appelé Israël à cesser ses attaques contre Gaza, qui, selon l'Autorité palestinienne, ont causé la mort de plus de 41 000 personnes.
Le ministre des Affaires étrangères Gerapetritis a souligné que l'escalade à la frontière israélo-libanaise ces derniers jours témoigne d'un échec général de la communauté internationale à empêcher la propagation du conflit. Il a également mis en garde contre le risque que le Liban devienne une zone de guerre féroce à laquelle la communauté internationale ne pourrait pas faire face.
En outre, la Grèce fait pression en faveur d’un projet temporaire visant à faire venir dans l’Union européenne les enfants blessés et traumatisés par la guerre à Gaza. La Grèce pourrait accueillir environ 500 enfants dans le cadre de ce programme.
Hong Hanh (selon Reuters)
Source : https://www.congluan.vn/hy-lap-cho-biet-israel-chua-phai-doi-mat-voi-nhieu-ap-luc-trong-cac-cuoc-chien-o-trung-dong-post313644.html
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