Lors de la récente 7ème session de la 15ème législature, avec la majorité des délégués votant en faveur, l'Assemblée nationale a adopté la Loi sur l'ordre et la sécurité de la circulation routière (TTATGTDB), qui stipule l'allocation du budget correspondant à la collecte des amendes pour les infractions au code de la route et les enchères de plaques d'immatriculation. La loi entre en vigueur à compter du 1er janvier 2025.
La loi sur l'ordre et la sécurité de la circulation routière a été adoptée lors de la 7e session de la 15e Assemblée nationale.
Cette loi stipule 6 groupes de politiques de l’État en matière de sécurité routière. En conséquence, l'État assure le budget, les installations, les moyens, les équipements modernes, les conditions pour assurer et améliorer la capacité d'accomplir les tâches de la force assurant directement la sécurité routière.
Mobiliser et utiliser les ressources pour assurer la sécurité routière. Dans le même temps, allouer en conséquence les recettes provenant des amendes administratives pour infractions au code de la route et des ventes aux enchères de plaques d'immatriculation de véhicules après leur soumission au budget de l'État pour renforcer et moderniser les installations, les véhicules et les équipements afin de servir l'objectif d'assurer la sécurité, l'ordre et la sécurité routière conformément à la réglementation gouvernementale.
En outre, il existe une politique de modernisation des centres de commandement du trafic ; Assurer la connexion et le partage de la base de données sur la sécurité routière entre les agences étatiques compétentes.
Parmi les mesures mentionnées ci-dessus, la politique relative au retrait de l’argent des amendes pour infractions à la sécurité routière a reçu de nombreuses opinions de la part des délégués au cours du processus de rédaction ainsi que des discussions en salle.
Non incompatible avec la résolution de l'Assemblée nationale sur le projet de budget
Dans le rapport d'explication et d'acceptation envoyé aux délégués avant d'appuyer sur le bouton pour approuver le projet de loi, la Commission permanente de l'Assemblée nationale a déclaré qu'en plus de la majorité des accords, il y avait également des avis suggérant d'envisager une réglementation sur la déduction des amendes rétroactives pour les infractions à la sécurité routière, et il est nécessaire de stipuler clairement quel pourcentage doit être déduit...
Selon le Comité permanent de l'Assemblée nationale, ces dernières années, l'Assemblée nationale a alloué le budget dans le sens de l'élaboration d'une estimation budgétaire pour 100% des recettes provenant des amendes administratives dans le domaine de la sécurité routière après l'avoir soumise au budget de l'État pour renforcer le travail de garantie de la sécurité routière.
Le ratio d'allocation pour le Ministère de la Sécurité Publique et les localités dépend des besoins de chaque année, le plus récent étant en 2024, 85% sont alloués au Ministère de la Sécurité Publique, 15% aux localités.
Cependant, le processus de mise en œuvre pose encore des problèmes, car il n’existe pas de documents juridiques spécifiques indiquant l’allocation de fonds pour le traitement des infractions au code de la route. Cela conduit à un financement limité pour la mise en œuvre de projets visant à moderniser la police de la circulation et à améliorer la sécurité routière.
La police de la circulation contrôle et gère les conducteurs participant à la circulation.
Il existe également des avis suggérant de considérer le règlement ci-dessus pour assurer la cohérence avec la résolution n° 104/2023 de l'Assemblée nationale sur l'estimation du budget de l'État pour 2024, en particulier la suppression du mécanisme de gestion financière et des revenus spéciaux des agences et unités administratives de l'État ; Ne pas continuer à appliquer le mécanisme spécial actuel à la partie du budget ordinaire conformément au mécanisme spécial de gestion financière.
La Commission permanente de l'Assemblée nationale estime que la disposition relative à l'affectation des recettes provenant des amendes administratives pour infractions à la sécurité routière et des ventes aux enchères de plaques d'immatriculation de véhicules ne constitue pas une dépense régulière. Le but de l'utilisation est de renforcer et de moderniser les installations, les véhicules et les équipements pour assurer l'ordre et la sécurité de la circulation ; de ne pas soutenir de revenus supplémentaires pour la police de la circulation ou d’autres forces participant à la garantie de la sécurité routière.
Par conséquent, les dispositions du projet de loi ne contredisent pas la résolution n° 104/2023 de l’Assemblée nationale.
Sur la base de la proposition du Gouvernement et pour assurer la cohérence avec les dispositions de la loi sur le budget de l'État de 2015, le Comité permanent de l'Assemblée nationale révise les dispositions relatives à l'arrangement correspondant à partir des recettes provenant des amendes pour infractions à la sécurité routière et des frais de vente aux enchères de plaques d'immatriculation de véhicules comme indiqué ci-dessus.
Dans les temps à venir, le Gouvernement publiera des documents pour préciser les sujets applicables, les sujets attribués, les éléments attribués, l'utilisation des fonds, la préparation des estimations, l'allocation des estimations et le règlement des fonds attribués sur la base du respect des dispositions de la loi sur le budget de l'État (sans avoir à modifier ou à compléter la loi sur le budget de l'État).
Source : https://thanhnien.vn/quy-dinh-moi-ve-trich-lai-tien-tu-nguon-xu-phat-va-dau-gia-bien-so-185240629181916954.htm
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