Le Centre de médecine du genre de Hanoi et l'hôpital d'andrologie et d'infertilité de Hanoi viennent de recevoir une patiente de 39 ans qui est venue à la clinique dans un état de stress, d'anxiété et d'insomnie de longue durée.
Le Centre de médecine du genre de Hanoi et l'hôpital d'andrologie et d'infertilité de Hanoi viennent de recevoir le cas d'une patiente de 39 ans qui est venue à la clinique dans un état de stress, d'anxiété et d'insomnie de longue durée qui a affecté sa vie de famille et son travail.
Les médecins de l'hôpital d'andrologie et d'infertilité de Hanoi consultent les patients. |
Selon le Dr Pham Minh Ngoc, directeur adjoint du Centre de médecine du genre de Hanoi, la patiente de 39 ans qui a visité le centre avait des antécédents de bonne santé et aucune maladie sous-jacente.
La patiente est venue consulter un médecin en raison de mauvaises relations conjugales malgré un emploi stable et l’absence de pression pour avoir des enfants. Les médecins du Centre de médecine du genre de Hanoi ont demandé à leurs patientes de subir des échographies de la thyroïde, des seins et de l’abdomen, des électrocardiogrammes, des analyses de lipides sanguins, des évaluations de la fonction hépatique et rénale et des numérations sanguines pour dépister le risque de cancer.
Après s'être assuré qu'il n'y a aucun risque de cancer, il est conseillé au patient de suivre un traitement endocrinien, une supplémentation en œstrogènes...
Le médecin conseille également aux patients de faire de l'exercice au moins 4 fois par semaine, d'évacuer le stress et de passer plus de temps à prendre soin d'eux, en faisant du yoga, en marchant... De plus, les patients doivent ajuster leur régime alimentaire, compléter avec des aliments tels que : du soja, des céréales, des graines de tournesol, des germes de soja...
Après le traitement, de nombreux patients ont constaté une amélioration significative des bouffées de chaleur, une réduction du stress, de la dépression, de l’anxiété, une amélioration de la physiologie, une peau plus ferme, une amélioration de la mémoire et de la concentration.
Dans certains cas, l’hormonothérapie prévient également l’ostéoporose, réduit le risque cardiovasculaire, réduit les troubles urinaires et les infections des voies urinaires.
Selon le Dr Pham Minh Ngoc, directeur adjoint du Centre de médecine du genre de Hanoi, si les femmes souffrent du même problème que la patiente ci-dessus pendant 3 à 6 mois et ne parviennent pas à s'améliorer d'elles-mêmes, elles doivent consulter un spécialiste pour obtenir des conseils de traitement.
Il est connu qu’investir dans les soins de santé des femmes est un problème qui retient l’attention mondiale, et pas seulement au Vietnam.
Entre 2020 et 2022, le nombre de cas de malnutrition chez les femmes enceintes ou allaitantes a augmenté de 25 %, passant de 5,5 millions à 6,9 millions.
Le rapport de l’UNICEF s’appuie sur une analyse de données relatives aux femmes dans la plupart des pays du monde. Selon l’agence, plus d’un milliard de femmes et d’adolescentes dans le monde souffrent de malnutrition.
Cette condition entraîne une insuffisance pondérale et un développement physique inférieur à la moyenne, en raison d’un manque de micronutriments essentiels et d’une anémie.
La plupart de ces cas surviennent dans les régions les plus pauvres du monde, l’Asie du Sud et l’Afrique subsaharienne comptant 68 % des femmes et des adolescentes en insuffisance pondérale et 60 % souffrant d’anémie.
L'UNICEF a déclaré que les carences nutritionnelles mentionnées ci-dessus affectent non seulement la santé des femmes, mais aussi celle de leurs enfants, notant que « la mauvaise nutrition se transmet de génération en génération ».
La malnutrition augmente non seulement le risque de mortalité infantile, mais peut également « nuire à la croissance du fœtus, avec des conséquences à vie sur la croissance de l’enfant, sa capacité d’apprentissage et son statut social plus tard dans la vie ».
Selon le rapport de l’UNICEF, 51 millions d’enfants de moins de 2 ans souffrent actuellement d’un retard de croissance dans le monde. On estime qu’environ 50 % de ces enfants souffrent d’un retard de croissance dans l’utérus et au cours des six premiers mois de leur vie, lorsqu’ils sont totalement dépendants de l’alimentation de leur mère.
Selon les experts, entre 2020 et 2022, le nombre de cas de malnutrition chez les femmes enceintes ou allaitantes a augmenté de 25%, passant de 5,5 millions à 6,9 millions de personnes, dans 12 pays confrontés à des crises alimentaires : Afghanistan, Burkina Faso, Éthiopie, Kenya, Mali, Niger, Nigéria, Somalie, Soudan, Soudan du Sud, Tchad et Yémen.
L’UNICEF a souligné que sans une action urgente de la communauté internationale, les conséquences pourraient perdurer pendant les générations futures. Pour prévenir la malnutrition infantile, nous devons également lutter contre la malnutrition chez les femmes et les adolescentes.
En outre, l’UNICEF appelle les gouvernements à donner la priorité à l’accès des femmes et des filles à des aliments nutritifs et à mettre en œuvre des mesures obligatoires pour étendre l’enrichissement en micronutriments à grande échelle des aliments quotidiens, tels que la farine de blé, l’huile de cuisson et le sel, afin de contribuer à réduire les carences en micronutriments et l’anémie chez les filles et les femmes.
Source : https://baodautu.vn/phu-nu-trung-nien-can-luu-y-gi-de-dam-bao-suc-khoe-d219850.html
Comment (0)