Le rapport du ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme indique qu'actuellement, certaines réglementations du décret n° 54 sont apparues et ont causé des difficultés aux organisations et aux entreprises exploitant des clubs de karaoké et de danse.
En conséquence, certaines réglementations relatives aux conditions d’activité des entreprises ne sont plus adaptées à la réalité ; Le contenu n'a pas encore été précisé, il fait référence aux dispositions de la loi sur la prévention, la lutte et le sauvetage des incendies, aux normes et réglementations techniques pertinentes de manière unifiée et systématique.
Le projet de décret a mis à jour et modifié la réglementation relative aux conditions d’activité des entreprises en matière de prévention et de lutte contre les incendies, de sécurité et d’ordre ; Compléter les responsabilités des entreprises et des ménages professionnels en matière de respect des normes et réglementations techniques en matière de prévention et de lutte contre les incendies.
En outre, le projet de décret stipule que le Comité populaire provincial est l’organisme qui accorde, ajuste et révoque les licences ; Attribuer clairement les responsabilités aux départements, aux branches, aux comités populaires de district et aux comités populaires de commune dans le travail d’octroi, d’inspection et de révocation des licences commerciales.
Le vice-Premier ministre a souligné que les services de karaoké et de discothèque sont sensibles et doivent être strictement gérés car ce sont des lieux où se rassemblent de nombreuses personnes, principalement des jeunes, qui consomment des boissons et ont le potentiel de consommer des drogues, des substances addictives, des maux sociaux, de la pollution environnementale, du bruit, etc., ainsi que du contenu culturel, des traditions et des coutumes.
« À long terme, l'octroi de licences aux entreprises de karaoké et de discothèque doit suivre la planification, assurer la sécurité, la sûreté et l'ordre ; prévenir et combattre les incendies et les explosions, la pollution de l'environnement, le bruit ; ne pas affecter la vie et les activités des personnes dans les zones résidentielles, les activités des agences administratives, des établissements d'enseignement, des soins de santé, des religions, des croyances, des reliques historiques et culturelles... », a souligné le Vice-Premier ministre et a noté que les entreprises de karaoké et de discothèque agréées doivent surmonter et respecter entièrement les normes et techniques de prévention et de lutte contre les incendies et les explosions.
Les dirigeants du ministère de la Sécurité publique, du ministère de la Planification et de l'Investissement, du ministère de la Construction, du ministère de la Justice, etc. ont convenu des réglementations sur la décentralisation et la délégation de pouvoir aux localités, définissant clairement les responsabilités des agences de gestion étatiques spécialisées pour les activités commerciales de karaoké et de discothèque.
Dans le même temps, les avis analysent et clarifient davantage les conditions d'octroi de licences commerciales pour les services de karaoké et de discothèque liés à la prévention des incendies et à la lutte contre la sécurité, garantissant la sécurité et l'ordre ; il est temps d’évaluer les conditions d’octroi de licences; Documents et procédures pour la nouvelle construction, la rénovation et la réparation d'établissements commerciaux de karaoké et de discothèque; compléter le type d’établissement de restauration par des activités de chant ou d’arts du spectacle; Préciser les cas de révocation des licences commerciales pour les établissements violant les mesures de sécurité en matière de prévention et de lutte contre les incendies ; Évaluer l'impact de la réglementation sur la surface minimale des salles de karaoké, des discothèques...
En conclusion de la réunion, le vice-Premier ministre Tran Hong Ha a demandé au ministère de la Culture, des Sports et du Tourisme d'absorber et de compléter la réglementation sur la décentralisation de l'autorité vers les localités, tout en définissant clairement les responsabilités des agences de gestion spécialisées de l'État ; L’évaluation des documents et des conceptions de prévention et de lutte contre les incendies doit être décentralisée au niveau du district et mise en œuvre dans le sens d’une pré-inspection ; prescrire les documents, les procédures et les critères pour les cas de suspension temporaire et de révocation des licences commerciales ; cas; Rechercher des méthodes de gestion appropriées pour les entreprises de restauration combinées à des activités de chant et d'arts du spectacle...
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