Le 11 février, le président américain Donald Trump a signé un décret exigeant que les agences gouvernementales se coordonnent étroitement avec le Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE), dirigé par le milliardaire Elon Musk, pour réduire les effectifs fédéraux.
Le président Donald Trump (à droite) et le milliardaire Elon Musk, secrétaire à l'Efficacité gouvernementale, lors de la signature d'un décret dans le bureau ovale de la Maison Blanche le 11 février. (Source : Getty Images) |
L'ordonnance ordonne aux dirigeants de l'agence de « coordonner et de consulter le DOGE pour réduire les effectifs fédéraux à grande échelle, conformément à la loi applicable, et de n'embaucher que pour les postes essentiels », a rapporté The Guardian .
Chaque agence disposera d'un « chef d'équipe DOGE » pour superviser les décisions d'embauche et tout plan d'embauche doit être effectué en consultation avec cette personne.
L'ordonnance exige également qu'après l'expiration du gel des embauches, les agences ne puissent pas embaucher plus d'un nouvel employé pour quatre employés quittant le système, à l'exception des postes liés à la sécurité publique, à l'application des lois en matière d'immigration et à l'application de la loi.
S'exprimant dans le bureau ovale au moment de signer le décret, le président Trump a souligné que son administration avait découvert « des milliards de dollars de gaspillage, de fraude et d'abus ». À ses côtés, le milliardaire Musk a affirmé l’importance de rationaliser l’appareil gouvernemental.
Les licenciements fédéraux font partie de la stratégie de restructuration gouvernementale de l’administration Trump, visant à réduire la taille et l’efficacité du gouvernement. On estime qu’une réduction de 25 % des emplois fédéraux pourrait permettre d’économiser environ 1 % du budget du gouvernement.
L’administration Trump fait pression pour une restructuration de la bureaucratie fédérale de 2,3 millions d’employés civils, dans le but de construire une bureaucratie plus légère. Selon le plan, les employés qui acceptent de démissionner seront payés jusqu'en septembre.
Toutefois, la proposition est actuellement en suspens car un juge fédéral du Massachusetts a prolongé la suspension jusqu'au 10 février pour entendre les arguments des deux parties dans un procès intenté par les syndicats d'employés fédéraux.
Source : https://baoquocte.vn/my-tinh-gon-bo-may-chinh-phu-to-ng-thong-trump-thuc-day-viec-cat-giam-manh-nhan-su-giam-sat-chat-viec-tuyen-dung-304029.html
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