Bonjour ombre, ne me regarde pas en silence
nuit après nuit, se cachant quelque part pour dormir
innocent, pourquoi te retournes-tu et caches-tu ton visage ?
tenant le feu du soleil jouant avec la lune et les étoiles
le printemps passe sans dire au revoir
a dû faire un signe de la main au brouillard
Le soleil de janvier est probablement mince
touche le sol brun et se transforme en fumée sauvage
Marche doucement, bébé, protège-moi du vent
le pissenlit blanc répand la tristesse
plutôt comme ce souvenir des temps fous
de douces gouttes de lèvres trempées de souvenirs s'embrassent
Avril, les arbres et l'herbe appellent à la pluie
alors les cigales commencent à chanter des chansons d'été
séduisant, il suffit d'écouter dans le cœur comme déjà
La couleur du flamboyant royal sur les branches me rappelle ma jeunesse...
Source : https://baoquangnam.vn/thang-tu-va-cam-tuong-3152640.html
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