Les gouvernements du monde entier s’efforcent de contrôler les risques liés à cette technologie émergente d’IA, qui pourrait remodeler l’économie mondiale et modifier le paysage de la sécurité internationale.
Vue d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies. Photo : Nations Unies
Le Royaume-Uni, qui assure ce mois-ci la présidence tournante du Conseil de sécurité des Nations Unies, cherche à jouer un rôle de leader mondial dans la réglementation de l’IA. Le ministre britannique des Affaires étrangères, James Cleverly, présidera la discussion aujourd'hui (17 juillet).
En juin, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a soutenu une proposition de plusieurs PDG d’IA visant à créer un organisme international de surveillance de l’IA, comme l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
Le secrétaire général Guterres a également déclaré qu'il soutenait la nomination d'un conseil consultatif scientifique composé d'experts en IA et d'éminents scientifiques des agences des Nations Unies pour étudier les risques posés par cette technologie à l'échelle mondiale.
Récemment, un groupe de six robots humanoïdes dotés d’intelligence artificielle (IA) a déclaré lors d’une conférence des Nations Unies qu’ils pourraient diriger le monde mieux que les humains à l’avenir.
Bui Huy (selon l'ONU, Reuters, CNA)
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