On sait que l'incendie s'est déclaré vers 15 heures le 20 mars dans le groupe résidentiel Minh Phuong, quartier Nham Bien. En raison des conditions climatiques sèches, de la végétation dense et de nombreuses plantes inflammables, combinées à des vents violents, la lutte contre les incendies a été rendue difficile.
L’une des mesures importantes mises en œuvre a été d’établir des pare-feu pour empêcher la propagation du feu. Dans le même temps, un équipement spécialisé a également été utilisé pour éteindre l'incendie, empêchant de manière décisive le feu de pénétrer dans la zone du monastère zen Truc Lam Phuong Hoang.
Après de nombreuses heures d'efforts des autorités et des résidents locaux, vers 4 heures du matin le 21 mars, l'incendie était pratiquement maîtrisé. Cependant, selon les informations du journaliste, dans les ruisseaux Hang Dau et Doc, le feu couve toujours dans la couche du sol, avec un risque très élevé de ré-inflammation.
La zone forestière brûlée était assez vaste, du pied de la montagne jusqu'au sommet de Non Vua, causant des dommages à de nombreux types de plantes forestières telles que le pin, l'acacia et l'eucalyptus.
M. Dao Xuan The, chef du groupe résidentiel Minh Phuong, a déclaré que l'incendie a commencé dans la sous-zone 1 et s'est ensuite propagé aux environs. Les zones brûlées se trouvent toutes dans des forêts de production appartenant à des populations et dans une partie des forêts de production gérées par l'armée. Actuellement, les autorités mènent une enquête sur les lieux, recherchent la cause de l'incendie et le traitent conformément aux dispositions de la loi.
Ces derniers temps, le gouvernement a déployé de nombreuses formes d’alerte sur le risque d’incendies de forêt dans de nombreuses localités. Cependant, des causes objectives, notamment des conditions météorologiques extrêmes, ont contribué de manière significative aux incendies de forêt consécutifs dans la province de Bac Giang. Pour améliorer l’efficacité de la protection des forêts face à des conditions de plus en plus imprévisibles et à l’abus des ressources forestières, une participation plus drastique et synchrone du système politique et de la population est nécessaire.
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