L'agence de presse Reuters a cité le 6 octobre un responsable de la Maison Blanche affirmant que le président américain Joe Biden et le président chinois Xi Jinping pourraient tenir une réunion bilatérale en novembre à San Francisco, mais le plan est encore incertain.
Les dirigeants américains et chinois se rencontreront-ils en novembre prochain ? Sur la photo : le président chinois Xi Jinping et le président américain Joe Biden. (Source : Handelsblatt) |
Une éventuelle rencontre en face à face entre les dirigeants des deux plus grandes puissances économiques mondiales devrait se tenir dans le cadre du forum de Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) à San Francisco, en Californie, du 11 au 17 novembre.
Toutefois, les responsables américains n’ont pas divulgué le lieu et l’heure de la réunion. Entre-temps, le président Biden a également confirmé à l'agence de presse AP que la réunion « est probable ».
« Aucune réunion de ce type n’a encore eu lieu, mais c’est possible », a-t-il souligné.
Le Washington Post avait cité le 5 octobre un responsable anonyme de l'administration affirmant que la possibilité d'une telle rencontre était « tout à fait certaine » et que « nous commençons le processus » de planification.
Le sommet entre les États-Unis et la Chine, s’il a lieu, devrait jouer un rôle dans l’apaisement des tensions entre Washington et Pékin, alors que les relations entre les deux parties ont atteint un niveau historiquement bas, principalement en raison de points de vue opposés sur Taïwan et la mer de Chine méridionale.
Plus récemment, le ministère américain du Commerce a ajouté 42 entreprises chinoises à la liste de contrôle des exportations du gouvernement parce qu'il estime que ces entreprises soutiennent la Russie.
Selon Reuters , le ministère américain du Commerce a annoncé le 6 octobre qu'il ajouterait 42 entreprises chinoises à la liste de contrôle des exportations du gouvernement, invoquant le soutien de ces entreprises à la base industrielle militaire et de défense de la Russie.
Selon l'agence, les entreprises figurant sur la liste ont fourni des circuits intégrés d'origine américaine à des entreprises russes liées au secteur de la défense.
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