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Selon l'ordre du jour de la 5e session, le 30 mai, l'Assemblée nationale a discuté en groupes le projet d'amendement à la résolution de l'Assemblée nationale sur la prise d'un vote de confiance, d'un vote de défiance pour les personnes occupant des postes élus ou approuvés par l'Assemblée nationale ou le Conseil populaire (projet).
Lors de la séance plénière de la Commission des lois, le soir du 26 mai, la cheffe du Comité de travail de la délégation, Nguyen Thi Thanh, a déclaré que le projet avait ajouté des dispositions spécifiques sur les actes interdits pour garantir que le vote de confiance soit effectué de manière objective et transparente. Parallèlement, il convient de compléter les réglementations relatives à la suspension de l’application de certaines dispositions des lois connexes afin de garantir la cohérence et l’uniformité des dispositions légales.
La modification de la résolution n° 85/2014/QH13 est une tâche très urgente, car en 2023, le Politburo a publié le règlement n° 96-QD/TW sur la tenue d'un vote de confiance pour les postes et titres de direction et de gestion dans le système politique. La résolution n° 85/2014/QH13 doit être modifiée pour institutionnaliser le règlement 96, dont le plus important est le règlement sur les conséquences pour ceux qui sont élus, ainsi que sur la gestion de ces conséquences.
Selon le président du Comité des lois, Hoang Thanh Tung, le projet a globalement atteint les objectifs fixés. Ce n’est cependant pas sans fondement que l’on s’inquiète toujours de ce que des cadres dynamiques, créatifs, audacieux, audacieux et exigeants… puissent facilement « perdre des voix ». Sans compter que les responsables en charge de la santé, de l'éducation, des transports... directement liés à la vie quotidienne des gens ont plus de chances d'être moins bien notés en termes de confiance que ceux de domaines moins conflictuels, où les responsables « préfèrent maintenir la paix ».
Pour résoudre ce « problème », il faut des critères très spécifiques pour chaque sujet sur lequel voter, en plus des critères généraux sur l’éthique publique et l’éthique personnelle. Par exemple, la confiance dans un ministre doit être envisagée sous deux aspects : la formulation des politiques et leur mise en œuvre. Parallèlement à cela, les électeurs doivent avoir accès à de nombreux canaux d’information à différents niveaux.
Bien entendu, pour garantir que le résultat final soit objectif et le plus précis possible, la condition suffisante est l’équité de l’électeur. Mais d’abord, les conditions nécessaires doivent être remplies, comme mentionné.
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