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Publier une photo d'un emprunteur en ligne pour falsifier un avis de recherche, comment gérer cela ?

Người Đưa TinNgười Đưa Tin13/11/2023


Selon les informations publiées sur le portail électronique du ministère de la Sécurité publique, des personnes ont signalé que leurs amis avaient emprunté de l'argent, mais l'avaient remboursé en retard par rapport à la date convenue. Constatant cela, le créancier a publié la photo du débiteur sur les réseaux sociaux pour falsifier l'avis de recherche. Alors, pour ce comportement, selon la loi, comment le créancier sera-t-il traité ?

Français À ce sujet, le ministère de la Sécurité publique a déclaré que l'article 32 du Code civil de 2015 stipule : « Les individus ont droit à leur propre image et l'utilisation de l'image d'un individu doit être acceptée par cette personne... Si l'utilisation d'une image viole les dispositions du présent article, la personne possédant l'image a le droit de demander au tribunal de rendre une décision obligeant le contrevenant, les agences, organisations et individus concernés à retirer, détruire, mettre fin à l'utilisation de l'image, indemniser les dommages et appliquer d'autres mesures de traitement conformément aux dispositions de la loi ».

Bien que la loi reconnaisse et protège les droits à l'image des individus comme indiqué ci-dessus, dans la clause 2 de l'article 32 du Code civil de 2015, il existe 2 cas où l'image personnelle d'une autre personne peut être utilisée sans le consentement de cette personne ou de son représentant légal, notamment : Utiliser l'image à des fins d'intérêt national, ethnique et public ; Utiliser des images issues d'activités publiques : conférences, séminaires, compétitions sportives, performances artistiques... sans porter atteinte à l'honneur, à la dignité ou à la réputation de la personne représentée sur l'image.

Les créanciers falsifient des mandats d’arrêt et publient des photos personnelles des emprunteurs sur les réseaux sociaux dans le but de diffamer et de porter atteinte à la réputation et à l’honneur personnel de l’emprunteur, créant ainsi une pression sur l’emprunteur pour qu’il rembourse la dette. Ce comportement a porté atteinte à l’honneur et à la dignité des citoyens.

Selon la nature, l’ampleur et les conséquences de cet acte, le contrevenant peut être passible de sanctions administratives ou de poursuites pénales.

Français Plus précisément, si cet acte entraîne des conséquences non graves, le contrevenant sera sanctionné administrativement conformément au point g, clause 3, article 102 du décret 15/2020/ND-CP du 3 février 2020, stipulant des sanctions administratives dans les domaines des postes, des télécommunications, des technologies de l'information et des radiofréquences : « ... Une amende de 10 000 000 à 20 000 000 VND sera imposée pour l'un des actes suivants : Fournir, échanger, transmettre ou stocker, utiliser des informations numériques pour menacer, harceler, déformer, calomnier ou insulter la réputation d'une organisation, l'honneur, la dignité ou la réputation d'une autre personne ».

Si cet acte entraîne des conséquences graves, le contrevenant peut être poursuivi en vertu de l’article 155 ou de l’article 156 du Code pénal de 2015.

L'article 155 du Code pénal de 2015 stipule que quiconque porte gravement atteinte à la dignité ou à l'honneur d'une autre personne sera passible d'un avertissement, d'une amende de 10 000 000 à 30 000 000 VND ou d'une réforme sans détention pouvant aller jusqu'à 3 ans.

La commission d'un crime dans l'un des cas suivants est passible d'une peine d'emprisonnement de 3 mois à 2 ans : Commettre le crime 2 fois ou plus ; Pour 2 personnes ou plus ; Abus de position et de pouvoir ; Pour les personnes en mission officielle ; Pour ceux qui vous enseignent, vous nourrissent, prennent soin de vous et vous guérissent ; Utiliser des réseaux informatiques ou des réseaux de télécommunications, des moyens électroniques pour commettre des crimes ; Provoquant des troubles mentaux et comportementaux chez la victime avec un taux de blessures corporelles de 31% à 60%.

Commettre un crime dans l'un des cas suivants est passible d'une peine d'emprisonnement de 2 à 5 ans : Provoquer des troubles mentaux et comportementaux chez la victime avec un taux de lésions corporelles de 61 % ou plus ; Faire en sorte que la victime se suicide.

En outre, le contrevenant peut également se voir interdire d'occuper des postes, d'exercer une profession ou d'exercer certains métiers pendant une durée de 1 à 5 ans.

Français Concernant le délit de diffamation, l'article 156 du Code pénal de 2015 stipule que quiconque commet l'un des actes suivants sera passible d'une amende de 10 000 000 à 50 000 000 VND, d'une rééducation sans détention pouvant aller jusqu'à 2 ans ou d'une peine d'emprisonnement de 3 mois à 1 an : Fabriquer ou diffuser des choses connues comme étant fausses afin d'insulter gravement la dignité, l'honneur ou de porter atteinte aux droits et aux intérêts légitimes d'autrui ; Fabriquer des crimes contre autrui et les signaler aux autorités.

La commission d'un crime dans l'un des cas suivants est passible d'une peine d'emprisonnement de 1 à 3 ans : Organisé ; Abus de position et de pouvoir ; Pour 2 personnes ou plus ; Pour les grands-parents, les pères, les mères, ceux qui vous enseignent, vous élèvent, prennent soin de vous, vous éduquent et vous traitent ; Pour les personnes en mission officielle ; Utiliser des réseaux informatiques ou des réseaux de télécommunications, des moyens électroniques pour commettre des crimes ; Provoquant des troubles mentaux et comportementaux chez la victime avec un taux de blessures corporelles de 31 % à 60 % ; Calomnier une autre personne en lui reprochant d’avoir commis un crime très grave ou particulièrement grave.

La commission d’un crime dans l’un des cas suivants est passible d’une peine d’emprisonnement de 3 à 7 ans : Pour des motifs ignobles ; Provoquer des troubles mentaux et comportementaux chez la victime avec un taux de blessures corporelles de 61 % ou plus ; Faire en sorte que la victime se suicide.

Les contrevenants peuvent également être condamnés à une amende de 10 000 000 à 50 000 000 VND, à une interdiction d'occuper un poste, d'exercer une profession ou d'exercer certains métiers pendant une période de 1 à 5 ans.

Ainsi, dans ce cas, la victime peut déposer une plainte auprès des autorités pour protéger ses droits et intérêts légitimes.

MT



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