Le Bureau du Gouvernement vient d'annoncer la conclusion du Vice-Premier Ministre Tran Hong Ha lors d'une réunion sur l'examen et la finalisation du projet de décret sur la gestion des activités de dragage dans les zones portuaires et les voies navigables intérieures (remplaçant le décret 159/2018).
Il est nécessaire de réglementer et de contrôler de manière claire et transparente la récupération des produits issus des activités de dragage afin de garantir une efficacité globale (photo d'illustration).
Le vice-Premier ministre Tran Hong Ha a demandé au ministère des Transports de continuer à étudier et à absorber pleinement les opinions des délégués, et de coordonner avec les ministères et agences concernés pour réviser et compléter le projet de décret.
Il est particulièrement important d’examiner attentivement la décentralisation vers les localités afin de garantir le principe d’unification de la gestion étatique des voies navigables maritimes et intérieures du niveau central au niveau local, en respectant les réglementations juridiques pertinentes, sans laisser de vides juridiques ni perturber ou affecter les activités maritimes et fluviales.
Le ministère des Transports doit également revoir, compléter et ajuster la réglementation afin d'encourager et d'attirer un maximum de ressources sociales et de sources de capitaux légaux en dehors du budget de l'État pour effectuer des travaux de dragage et gérer l'exploitation des routes maritimes et des voies navigables intérieures (les entreprises sont responsables de l'efficacité financière et économique...).
Les agences de gestion de l’État contrôleront la planification, les plans, les normes, les paramètres techniques des voies navigables, l’assurance de la sécurité, les ressources minérales et l’environnement.
Le vice-Premier ministre Tran Hong Ha a souligné que l'objectif principal de la sélection des investisseurs était de réaliser le dragage et l'entretien des canaux de navigation et des voies navigables intérieures.
Il est donc nécessaire de réglementer et de contrôler de manière claire et transparente la récupération des produits (sable, gravier, minéraux, etc.) issus des activités de dragage afin de garantir l’efficacité globale, d’éviter les abus de politique et les impacts négatifs sur la sécurité, la sûreté, l’environnement et le paysage.
Parallèlement, le Ministère des Transports étudiera les avis du Ministère de la Défense Nationale pour réviser et compléter la réglementation dans le sens d'assurer les principes généraux d'application des activités de dragage dans les eaux portuaires maritimes et les eaux des voies navigables intérieures en général et d'avoir des réglementations spécifiques pour les activités de dragage servant à des fins militaires et de défense.
Dans le même temps, accepter les avis du ministère des Ressources naturelles et de l'Environnement sur le respect des réglementations relatives au déversement de matériaux de dragage en mer, ainsi que les exigences relatives à la protection des lits des rivières, des berges et des plages, les exigences relatives aux activités dans les corridors de protection des sources d'eau, et les réglementations sur les responsabilités des comités populaires provinciaux en matière de planification et d'aménagement des zones de déversement en mer et des zones de déversement de matériaux de dragage à terre.
Le ministère des Transports doit également étudier les avis du ministère de la Planification et de l'Investissement sur les critères et les conditions que les autorités compétentes doivent respecter pour approuver les organisations et les entreprises chargées de procéder au dragage des voies navigables publiques et des voies navigables intérieures en utilisant les capitaux mobilisés par les entreprises elles-mêmes.
En outre, l'étude de cas d'une entreprise proposant de draguer un chenal de navigation public tout en investissant dans la construction d'un port maritime, ainsi que les réglementations sur l'utilisation de sources de capitaux légales en dehors du budget, sont également incluses.
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