La police sud-coréenne a convoqué le 10 janvier une réunion avec les chefs des agences de police d'enquête de la région de la capitale pour demander l'arrestation du président destitué Yoon Suk-yeol, en lien avec son imposition de la loi martiale le mois dernier.
Des enquêteurs devant la résidence de M. Yoon le 3 janvier.
Selon Yonhap, la réunion était présidée par le Bureau national d'enquête (NOI) pour préparer l'exécution d'un mandat d'arrêt contre M. Yoon, accusé de rébellion et d'abus de pouvoir, après qu'il ait refusé à plusieurs reprises de comparaître devant l'agence d'enquête. Le Bureau d'enquête sur la corruption (CIO) de Corée du Sud n'a pas réussi à arrêter M. Yoon le 3 janvier, car il était bloqué par des gardes du corps à sa résidence à Séoul. Le 9 janvier, la NOI a envoyé une dépêche aux agences d’enquête de la région de la capitale, demandant la mobilisation d’environ 1 000 enquêteurs pour poursuivre les efforts visant à arrêter M. Yoon.
Le palais présidentiel devient une forteresse, le président sud-coréen résiste au mandat d'arrêt
Source: https://thanhnien.vn/canh-sat-han-quoc-tim-cach-bat-tong-thong-yoon-185250110220754448.htm
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