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Berceuse du hamac qui se balance

Berceuse... la berceuse familière, douce comme une brise fraîche des après-midi d'été de l'enfance, résonne dans ma mémoire comme une mélodie paisible. Chaque fois que j'entends quelqu'un chanter cette chanson, mon cœur palpite, je me sens à nouveau comme un enfant, enveloppé dans les bras de ma mère, écoutant le balancement du hamac, tombant lentement dans un sommeil paisible.

Báo Long AnBáo Long An18/04/2025

Illustration

Quand j'étais enfant, j'adorais être bercé par ma mère dans un hamac en bambou accroché entre deux piliers de la maison. Le hamac vert, porté au fil des années, est pour moi un doux souvenir .

Berceuse… même si le pont en bois est cloué/ Le pont en bambou est branlant et difficile à traverser…, la voix de la mère est grave et lente, se mêlant au bruit du vent qui souffle dans les feuilles, se mêlant au soleil sec de midi à l'extérieur du porche.

Je ne me souviens pas combien de fois je me suis endormi dans le hamac, je me souviens seulement de mes jours d'enfance remplis d'amour, entouré de la voix chantante de ma mère, du rythme régulier et oscillant du hamac comme le souffle de ma patrie.

Dans ce même hamac, ma grand-mère était assise, mâchant du bétel et nous racontant des contes de fées. C'est là que mon père se reposait après de longues journées de travail dans les champs, les yeux mi-clos, la bouche fredonnant doucement une chanson folklorique.

Je me souviens de ces après-midi d’été où il commençait soudainement à pleuvoir, mes sœurs et moi nous réunissions autour du hamac, écoutant ma mère raconter des histoires sur son enfance. Maman a dit que dans le passé, ses grands-parents l'endormaient aussi avec ces chansons.

Il s’avère que ces berceuses ne sont pas seulement des chansons, mais aussi le lien qui relie les générations, le flux de l’amour, la chaleur de la famille.

En grandissant, j’étais loin de chez moi, loin du hamac en bambou qui s’était usé au fil des années. Durant ces journées chargées de travail, j'ai rarement l'occasion d'écouter la berceuse du passé.

La ville est bondée, la vie est précipitée, personne ne peut plus endormir personne avec de vieilles chansons. Il y a des nuits où je reste éveillé au milieu de la ville bruyante, ma mère me manque, le rythme du hamac de mon enfance me manque.

J'ai hâte de revenir à ces après-midi d'été allongé dans les bras de ma mère, écoutant sa berceuse familière, sentant la chaleur de ses mains maigres mais aimantes. Mais le temps ne peut pas être ramené en arrière...

Quand je suis rentré chez moi, j'ai été surpris de voir que le hamac en bambou était toujours là, juste beaucoup plus vieux. Maman ne m'endort plus comme avant, mais en moi, la chanson résonne encore quelque part : "Au o... le vent balance les branches de bambou/ La berceuse de maman résonnera pour toujours... La berceuse de l'enfance est l'amour de la famille, de la mère, pour toujours avec moi tout au long de ma vie./.

Nguyen Van Nhat Thanh

Source : https://baolongan.vn/au-o-nhip-vong-dong-dua-a193675.html


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