La loi foncière (amendée) a été adoptée par l'Assemblée nationale lors de la 5e session extraordinaire de la 15e Assemblée nationale, composée de 16 chapitres et 260 articles, détaillant la délivrance de certificats de droits d'utilisation des terres, de droits de propriété foncière et d'individus utilisant des terres sans documents sur les droits d'utilisation des terres sans violer les lois foncières et non dans les cas où les terres ont été attribuées sans autorisation appropriée.
Plus précisément, la délivrance d'un certificat de droits d'utilisation du sol et de propriété des biens attachés au sol pour les ménages et les particuliers qui utilisent le sol de manière stable sans l'un des types de documents sur les droits d'utilisation du sol prescrits à l'article 137 de la loi, ne relevant pas des cas prévus aux articles 139 et 140 de la présente loi.
L'Assemblée nationale a voté l'adoption de la loi foncière (amendée).
Premièrement, les ménages et les particuliers qui ont utilisé des terres avant le 18 décembre 1980 et dont le Comité populaire de la commune où se trouve la terre a confirmé qu'il n'y avait pas de litige, se verront délivrer un certificat de droits d'utilisation des terres et de propriété des biens attachés à la terre.
Deuxièmement, les ménages et les particuliers qui ont utilisé des terres du 18 décembre 1980 au 15 octobre 1993 et qui ont maintenant été confirmés par le Comité populaire de la commune où se trouve le terrain qu'il n'y a pas de litige, se verront accorder un certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des biens attachés au terrain.
Troisièmement, les ménages et les particuliers qui ont utilisé des terres du 15 octobre 1993 au 1er juillet 2014 et qui sont désormais confirmés par le Comité populaire de la commune où se trouve le terrain comme n'ayant aucun litige, se verront accorder un certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des biens attachés au terrain.
Quatrièmement, dans le cas où un terrain est utilisé conjointement par plusieurs ménages ou individus, la limite de terrain résidentiel prescrite aux clauses 1, 2 et 3 du présent article sera calculée en fonction de la limite totale de terrain résidentiel de ces ménages ou individus.
Dans le cas où un ménage ou un individu utilise plusieurs parcelles de terrain avec des habitations et est confirmé par le Comité populaire de la commune où se trouve le terrain comme ayant utilisé le terrain de manière stable depuis avant le 15 octobre 1993, la limite du terrain résidentiel est déterminée conformément aux règlements pour chaque parcelle de terrain.
Cinquièmement, les ménages et les particuliers qui sont éligibles à l'attribution de terres agricoles en vertu des dispositions de l'article 118, paragraphe 1, de la présente loi et qui ont utilisé des terres résidentielles ou des terres non agricoles avant le 1er juillet 2014 sans les documents spécifiés à l'article 137 de la présente loi, qui ont enregistré leur résidence permanente dans une localité située dans une zone à conditions socio-économiques difficiles ou dans une zone à conditions socio-économiques particulièrement difficiles, et qui sont maintenant confirmés par le Comité populaire de la commune où se trouve le terrain qu'il n'y a pas de litige, se verront accorder un certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des biens attachés au terrain et n'auront pas à payer de frais d'utilisation du terrain. La superficie du terrain est déterminée lors de l'octroi du certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des biens attachés au terrain conformément aux dispositions des clauses 1, 2, 3 et 4 du présent article.
La loi foncière révisée stipule que les terres des ménages et des particuliers sans documents avant le 1er juillet 2014 et sans litiges fonciers se verront attribuer des livres rouges.
Sixièmement, les ménages et les particuliers qui utilisent de manière stable des terres à des fins agricoles et dont le Comité populaire de la commune où se trouve la terre a confirmé qu'ils n'avaient pas de litiges se verront délivrer un certificat de droits d'utilisation des terres et de propriété des biens attachés à la terre sous la forme d'une attribution de terres par l'État sans perception de droits d'utilisation des terres pour la superficie des terres actuellement utilisées mais ne dépassant pas la limite d'attribution de terres agricoles aux particuliers prescrite à l'article 176 de la présente loi ;
La durée d'utilisation du sol est calculée à partir de la date de délivrance du certificat de droits d'utilisation du sol et de propriété des actifs attachés au sol ; La superficie restante des terres agricoles (le cas échéant) doit être convertie en bail foncier de l'État.
Septièmement, l'application des réglementations locales sur les limites des terrains résidentiels pour déterminer la superficie des terrains résidentiels dans les cas spécifiés aux clauses 1, 2, 3, 4 et 5 du présent article doit être mise en œuvre conformément à la réglementation en vigueur au moment où l'utilisateur du terrain soumet la demande de délivrance d'un certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des actifs attachés au terrain.
Huitièmement, les ménages et les particuliers qui utilisent des terres dans les cas spécifiés aux alinéas 1, 2, 3, 4, 5 et 6 du présent article mais qui ne sont pas éligibles à un certificat de droits d'utilisation des terres et de propriété des biens attachés aux terres sont temporairement autorisés à utiliser les terres dans leur état actuel jusqu'à ce que l'État récupère les terres et doivent déclarer et enregistrer les terres conformément à la réglementation.
Neuvièmement, l'État est chargé d'octroyer des certificats de droits d'utilisation du sol et de propriété des biens attachés au sol aux cas qui ont été enregistrés et qui remplissent les conditions prescrites dans le présent article .
Source
Comment (0)