Le 27 septembre, selon des documents du Comité canadien sur l'ingérence étrangère, un ancien politicien canadien a été soupçonné d'avoir tenté d'influencer le travail du Parlement au nom d'un gouvernement étranger.
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| Bâtiment du Parlement canadien. (Source : AFP) |
À l’heure actuelle, les autorités canadiennes n’ont pas fourni d’informations claires sur l’identité, l’affiliation politique de ce député ou le nom du pays avec lequel il est accusé de collaborer. Il s’agit toutefois d’un cas sans précédent d’ingérence étrangère directe dans la démocratie canadienne.
Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), en collaboration avec d’autres organismes de sécurité et de renseignement, a compilé une liste de six cas notables d’ingérence étrangère présumée au cours des dernières années.
Quatre cas ont été détaillés lors d'une audience précédente par la juge Marie-Josée Hogue concernant des opérations d'influence étrangère lors des élections de 2019 et 2021.
Les deux autres cas qui n’ont jamais été rendus publics sont celui du député mentionné ci-dessus et l’autre concernant un pays qui tente d’empêcher l’élection d’un député libéral.
On soupçonne que ce gouvernement étranger a cherché à empêcher le candidat du Parti libéral d’être élu au Parlement fédéral en raison de son soutien à des questions jugées contraires aux intérêts de ce gouvernement étranger.
La Chine est connue pour être le pays le plus actif en matière d’ingérence dans les affaires canadiennes, suivie de l’Inde. En outre, le conflit au Moyen-Orient pourrait également inciter l’Iran à interférer dans les prochaines élections.
Source : https://baoquocte.vn/un-politicien-canadien-devenu-retraite-est-soupçonné-de-travailler-pour-des-citoyens-étrangers-288070.html
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