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La prime du Têt et la face cachée du métier de freelance

Báo Công thươngBáo Công thương15/12/2024

Le travail indépendant offre aux jeunes liberté et flexibilité dans la vie. Mais ils doivent payer le prix du manque de protection sociale, notamment des primes du Têt.


Ces dernières années, le métier de freelance suscite de plus en plus d’intérêt, notamment auprès des jeunes. Au lieu d’être liés au cadre habituel des employés d’entreprise avec des tâches répétitives, ils choisissent un chemin plus libre. Le travail indépendant permet aux gens d’être leur propre patron, de décider de leurs propres revenus et de bénéficier de flexibilité dans leur propre vie.

Chuyện thưởng Tết và góc khuất của nghề freelancer
Au milieu de l'atmosphère animée de la saison des bonus du Têt, les freelances continuent de « travailler dur » en silence et trouvent de la joie dans leurs réalisations (Photo : ATPro)

Cependant, choisir de devenir freelance oblige également les jeunes à faire de nombreux compromis, notamment le manque de protection sociale, notamment l'histoire des primes du Têt - un sujet qui fait toujours l'objet de nombreuses discussions à chaque fois que le Têt arrive, mais qui est un luxe pour la plupart des freelances.

Contrairement aux employés à temps plein, les freelances ne bénéficient pas d’avantages tels qu’une assurance maladie, une assurance sociale, des congés payés ou des primes. Ils doivent prendre en charge toutes ces dépenses eux-mêmes, ce qui représente un fardeau financier et mental.

Sur les forums, la plupart des nouveaux freelances se sentent un peu tristes lorsqu'ils voient des gens s'affairer à offrir des cadeaux, exhibant des bonus petits et grands. Pour les freelances expérimentés et de longue date, ce n’est pas une exception, c’est juste une pensée passagère, car lorsqu’ils choisissent d’être freelance, ils doivent accepter qu’il n’y a pas de bonus Têt.

La consolation est toutefois que, lors d'une journée normale, les freelances ont un revenu moyen « légèrement » supérieur à celui d'un travailleur en entreprise. Ce salaire généreux devient une grande motivation, les aidant non seulement à maintenir leur passion mais aussi à « se récompenser pour le Têt » en augmentant leur charge de travail en fin d'année.

Par exemple, selon un pigiste expérimenté dans le domaine du marketing, la fin de l'année est la saison la plus rentable, si vous faites de gros efforts, vous aurez un montant décent à compenser pour le Têt. « À la fin de l'année dernière, j'ai bien gagné ma vie grâce à de grands événements comme le Black Friday, Noël ou le Nouvel An. De nombreuses marques ont payé 50 à 70 % du contrat à l'avance, donc même sans la prime du Têt, j'étais occupé et j'ai bien gagné ma vie. Il y a même eu des moments où j'avais tellement de travail que je n'avais pas le temps… de me sentir triste à cause de la prime du Têt », a déclaré le jeune freelance.

Cependant, le fait d’avoir plusieurs emplois et d’occuper plusieurs postes met également les freelances sous une forte pression. Sans compter que le côté caché du métier de freelance est qu’il existe toujours des risques potentiels et présents, comme des partenaires qui ne paient pas leurs factures ou qui ont des dettes à long terme sans contrat clair ; des possibilités limitées de développement de carrière en raison de moins de possibilités de formation professionnelle ou d’avancement que dans un environnement d’entreprise ; la concurrence et l'élimination dans la profession sont élevées...

En bref, être freelance, c’est accepter d’échanger stabilité, pression et risque contre liberté. Au milieu de l'atmosphère animée de la saison des bonus du Têt, ils continuent à « travailler dur » en silence et trouvent de la joie dans leurs réalisations.

Même si ce chemin n'est pas pavé de roses, chaque freelance porte en lui détermination, indépendance et optimisme car il comprend qu'être son propre patron est la plus grande récompense que tout le monde n'ose pas se permettre.



Source : https://congthuong.vn/chuyen-thuong-tet-va-goc-khuat-cua-nghe-freelancer-364369.html

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