Le ministère de l’Éducation et de la Formation a déclaré qu’actuellement, la mise en œuvre des allocations préférentielles pour les enseignants n’est pas encore cohérente entre les localités en raison du chevauchement des documents réglementaires.
Unanimité sur le sujet et le niveau de versement des allocations
Récemment, le Département des enseignants et des gestionnaires de l'éducation (ministère de l'Éducation et de la Formation) a organisé une conférence pour consulter sur les indemnités préférentielles accordées aux fonctionnaires des établissements d'enseignement public et sur les conditions de travail des enseignants de l'enseignement général et pré-universitaire.
Le ministère de l’Éducation et de la Formation propose d’élaborer une réglementation sur de nouvelles indemnités préférentielles pour les fonctionnaires des établissements d’enseignement.
Selon le rapport de cette unité, actuellement, la mise en œuvre des allocations préférentielles pour les enseignants n’est pas encore cohérente entre les localités en raison de chevauchements dans les documents réglementant le zonage pour déterminer les matières et les niveaux de rémunération ; En raison de la fusion et de l’ajustement des types d’unités administratives, l’ajustement des niveaux de paiement n’est pas opportun ; Étant donné que les réglementations du document ne sont pas vraiment strictes, la manière de déterminer les bénéficiaires est toujours différente...
De plus, le personnel scolaire ne reçoit qu'un salaire de base selon un coefficient, sans bénéficier d'indemnités et d'avantages comme les enseignants, ce qui fait que leur vie matérielle reste difficile. Cela conduit à une situation où de nombreux postes ne peuvent être pourvus, de nombreux employés démissionnent pour changer de carrière...
Le Département des enseignants a proposé d'élaborer un décret réglementant les indemnités préférentielles pour les fonctionnaires des établissements d'enseignement public afin de remplacer la réglementation actuelle. En particulier, il est proposé d’ajuster le niveau de l’allocation préférentielle pour certaines matières afin de mieux l’adapter à la complexité du travail ; La division des unités administratives est ajustée pour être cohérente avec les réglementations légales en vigueur ; des réglementations plus claires sur les personnes éligibles et non éligibles aux allocations préférentielles...
Précisera plus clairement le régime de travail des enseignants
Lors de la conférence, le ministère de l'Éducation et de la Formation a également organisé une consultation sur le projet de circulaire réglementant le régime de travail des enseignants de l'enseignement général et préparatoire à l'université. Le projet comporte un certain nombre de nouvelles dispositions et d’ajustements par rapport aux circulaires actuelles.
Par exemple, le temps de travail des enseignants est calculé en fonction de l'année scolaire, converti en périodes d'enseignement dans une année scolaire ou en périodes d'enseignement moyennes dans une semaine pour permettre aux écoles d'être flexibles dans l'affectation et l'organisation des enseignants pour mettre en œuvre le programme d'enseignement général de 2018 et pour faciliter le calcul des heures supplémentaires.
Dans le cas où un enseignant doit être affecté à un enseignement supérieur à la moyenne des heures d'enseignement par semaine (y compris les heures d'enseignement converties pour des tâches simultanées), le nombre d'heures d'enseignement ne doit pas dépasser 25 % de la moyenne des heures d'enseignement par semaine pour assurer l'efficacité du travail de l'enseignant et garantir la réglementation sur les heures supplémentaires dans le Code du travail.
La réglementation unifiée sur le nombre de semaines d'enseignement réelles pour l'enseignement du contenu éducatif dans le programme d'enseignement général est de 35 semaines pour assurer le respect des réglementations du programme d'enseignement général de 2018 et des directives du ministère de l'Éducation et de la Formation sur le calendrier de l'année scolaire.
Le projet devrait également stipuler que chaque enseignant ne peut pas occuper plus de deux postes simultanément (y compris un travail professionnel simultané, des postes simultanés au sein du Parti, des organisations de masse et d’autres organisations, ainsi que l’occupation simultanée d’autres postes). Selon le ministère de l’Éducation et de la Formation, cela vise à garantir que les enseignants se concentrent sur les tâches d’enseignement et d’éducation.
D'autres cas ne nécessitant pas de rattrapage et considérés comme ayant enseigné le nombre total de périodes assignées comprennent les cas où les enseignants sont absents pour un examen ou un traitement médical ; Le projet prévoit également d’augmenter le nombre de périodes réduites pour les enseignants titulaires au niveau primaire à 4 périodes/semaine comme aux niveaux secondaire et lycée ; réglementation complémentaire pour les cas d'enseignants enseignant dans plusieurs écoles...
Le ministère de l'Éducation et de la Formation estime que si le projet de circulaire est publié, il permettra de surmonter les difficultés et les obstacles rencontrés dans la mise en œuvre des réglementations sur les régimes de travail des enseignants de l'enseignement général dans le passé, en créant des conditions favorables pour les établissements d'enseignement dans l'affectation, l'organisation et l'utilisation des enseignants.
Source : https://thanhnien.vn/che-do-phu-cap-cho-giao-vien-nhan-vien-truong-hoc-chua-thong-nhat-18524121717433912.htm
Comment (0)