Reuters a cité hier des sources bien informées selon lesquelles un accord de cessez-le-feu et de libération d'otages dans la bande de Gaza entre le Hamas et Israël pourrait être signé dans les prochains jours grâce aux progrès du dialogue mené sous la médiation des Etats-Unis, de l'Egypte et du Qatar.
Plus tôt cette semaine, le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a déclaré que les deux parties étaient plus proches que jamais d'un accord, et le Hamas a déclaré un jour plus tard que les pourparlers étaient sérieux et actifs.
L’administration américaine intensifie ses efforts pour parvenir à un accord avant que le président Joe Biden ne quitte ses fonctions le mois prochain. Le 18 décembre, le directeur de l'Agence centrale de renseignement américaine (CIA), William Burns, est arrivé à Doha (Qatar) pour rencontrer le Premier ministre Mohammed bin Abdulrahman Al Thani afin de résoudre les désaccords persistants entre le Hamas et Israël.
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La Maison Blanche et le Département d’État font preuve d’un optimisme prudent, ayant déjà été proches d’un accord par le passé, mais qui a finalement échoué. « Tout ce que les États-Unis peuvent faire, c'est faire pression et essayer de trouver un compromis, mais nous ne pouvons pas forcer les parties à faire un choix. Elles doivent prendre leurs propres décisions », a déclaré le porte-parole du département d'État américain, Matthew Miller.
Selon les autorités sanitaires palestiniennes, le conflit qui dure depuis 14 mois a tué plus de 45 000 personnes dans la bande de Gaza et laissé presque tous les habitants de la bande sans abri. Israël estime qu'il y a encore 96 otages détenus à Gaza, dont au moins 34 sont morts.
Les forces israéliennes près de la frontière de Gaza le 16 décembre.
Source: https://thanhnien.vn/ro-tin-sap-dat-thoa-thuan-ngung-ban-tai-gaza-185241218235910934.htm
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