Un porte-parole de la Maison Blanche a déclaré qu'Israël avait consulté les États-Unis avant de lancer une attaque massive sur la bande de Gaza, alors qu'au moins 200 personnes avaient été tuées.
Le 17 mars, Fox News a cité la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, déclarant que l'administration du président Donald Trump avait été consultée avant qu'Israël ne lance ses raids à travers Gaza.
« L'administration Trump et la Maison Blanche ont été consultées par Israël au sujet de leurs attaques à Gaza ce soir », a déclaré Mme Leavitt dans la soirée du 16 mars.
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Les premiers rapports faisaient état d'au moins 15 personnes tuées à Gaza, avant que ce chiffre ne soit mis à jour à plusieurs reprises et atteigne désormais au moins 200, selon Al Jazeera.
Après avoir accusé le Hamas de ne pas accepter un cessez-le-feu, Israël a annoncé son assaut sur Gaza et a déclaré que son armée était prête à poursuivre ses attaques contre les commandants et les infrastructures du Hamas à Gaza « aussi longtemps que nécessaire et étendra cette campagne au-delà de la portée des frappes aériennes ».
Des ambulances transportent des victimes vers un hôpital de la ville de Khan Younis, dans la bande de Gaza, le 18 mars.
Al Jazeera a rapporté que le matin du 18 mars, des chars israéliens ont bombardé la zone orientale de la ville d'Abasan dans la ville de Khan Younis (Gaza), coïncidant avec le moment de tirs intenses.
Pendant ce temps, le Hamas a accusé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le gouvernement israélien d'être responsables du renversement de l'accord de cessez-le-feu, ajoutant que l'attaque israélienne rendait le sort des otages imprévisible.
Le Hamas a appelé les négociateurs à demander des comptes à Israël, appelant la Ligue arabe et l'Organisation de la coopération islamique (OCI) à soutenir les Palestiniens pour « briser le siège injuste imposé à la bande de Gaza ». En outre, le Hamas a appelé le Conseil de sécurité des Nations Unies à tenir une réunion d’urgence et à adopter une résolution obligeant Israël à « cesser son agression ».
Selon le porte-parole Leavitt, le président Trump a clairement indiqué que « le Hamas, les Houthis, l'Iran et tous ceux qui cherchent à commettre des actes de terrorisme non seulement contre Israël mais aussi contre les États-Unis verront le prix à payer ».
Le Times of Israel a cité le 18 mars le porte-parole du Conseil de sécurité nationale américain, Brian Hughes, déclarant que « le Hamas aurait pu libérer les otages pour prolonger le cessez-le-feu, mais a plutôt choisi de refuser et d'entrer en guerre ».
Auparavant, M. Trump avait publiquement averti que le Hamas devait libérer tous les otages de Gaza, sous peine d'« ouvrir les portes de l'enfer ».
Source : https://thanhnien.vn/israel-tham-van-my-truoc-khi-tan-cong-it-nhat-200-nguoi-thiet-mang-o-gaza-185250318100820037.htm
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