Cuisiner à la maison permet non seulement d'économiser de l'argent et de garantir l'hygiène et la sécurité des aliments, mais aide également les gens à maintenir le mode de vie populaire « sain et équilibré ». Cependant, si le processus de préparation correct n’est pas suivi, les plats faits maison peuvent également avoir des effets négatifs sur la santé.
Cuire à haute température et pression supérieure à 200 degrés
Selon les informations de l'Association médicale vietnamienne, le processus de cuisson à chaud entraîne diverses modifications physiques et chimiques des nutriments contenus dans les aliments. Par exemple, pour les groupes alimentaires incluant la viande, le poisson, les crevettes, le crabe, les œufs, le sésame, les arachides, les haricots... contenant principalement des protéines, une cuisson à haute température pendant trop longtemps (200-300 ° C) créera des liaisons indigestes, réduisant la valeur nutritionnelle des protéines.
Les températures élevées provoquent des modifications des nutriments contenus dans les aliments.
La meilleure façon de préserver le contenu nutritionnel maximal des aliments est de choisir une méthode avec un temps de cuisson court. Chaque groupe alimentaire différent doit également être cuit à la température appropriée. 70-100 ° C est la température à laquelle cuire et stériliser les aliments qui fournissent des protéines comme la viande, le poisson et les œufs. Les graisses telles que les acides gras oméga 3 doivent être conservées à une température inférieure à 120 ° C.
Utilisez des aliments brûlés
La cuisson à haute température pendant de longues périodes réduit et modifie non seulement les nutriments contenus dans les aliments, mais présente également un risque potentiel de cancer lorsque les aliments sont brûlés. Selon l'Institut vietnamien de médecine appliquée, l'acrylamide et les amines hétérocycliques (HCA) sont deux noms qui apparaissent fréquemment dans les avertissements de danger, produits à partir d'une transformation alimentaire inappropriée.
Plus précisément, l’acrylamide est classé comme « potentiellement cancérigène pour l’homme » par le Centre international de recherche sur le cancer et l’OMS. Il s'agit d'un composé créé lorsque des aliments féculents sont frits ou grillés jusqu'à ce qu'ils brûlent pendant une longue période à des températures élevées de 170 à 180 ° C. Les HCA, quant à eux, sont le résultat d’une réaction chimique lorsque la viande est trop cuite.
Les aliments brûlés cachent un risque de cancer
Pour réduire la quantité d’acrylamide ou d’HCA, vous pouvez cuire les aliments pendant des périodes plus courtes jusqu’à ce qu’ils soient légèrement dorés. Évitez d’exposer la viande à la chaleur directe ou à des surfaces métalliques chaudes, en particulier pendant de longues périodes à des températures élevées.
Mangez des aliments salés à fréquence constante
Une enquête nationale menée en 2015 par le ministère de la Santé a montré qu'en moyenne, un adulte vietnamien consomme 9,4 grammes de sel par jour, soit près du double de la recommandation de l'OMS de 5 grammes de sel par jour. Cette quantité de sel se trouve principalement dans les épices salées.
Cette situation résulte en grande partie de l'habitude d'ajouter des épices salées aux aliments lors de la préparation, de la cuisson et du trempage (selon le document « Manger trop de sel et risques pour la santé » du ministère de la Santé). De plus, l’habitude de manger fréquemment au restaurant contribue également à augmenter la consommation de sel, car les aliments cuisinés à l’extérieur sont principalement assaisonnés selon les goûts courants.
Le ministère de la Santé recommande que pour minimiser ce risque, chaque famille réduise les aliments salés et le sel dans la cuisson.
La réduction du sel peut se faire progressivement pour permettre aux papilles gustatives de s'adapter ou utiliser d'autres épices avec moins de sel comme de la poudre d'assaisonnement pour aider le plat à avoir meilleur goût sans être salé. Par exemple, la poudre d’assaisonnement Knorr avec 46 % de sel et d’extrait de filet contribue à fournir juste assez de sel pour le repas, tout en garantissant que le plat est riche et savoureux. L’emballage du produit recommande également un assaisonnement approprié, aidant à contrôler la quantité de sel absorbée par l’organisme chaque jour.
Knorr contient 46 % de sel et d'extrait de filet mignon pour aider le plat à être modérément salé mais toujours savoureux et délicieux.
Utiliser de l'huile de friture plusieurs fois
L'Institut national de la nutrition indique que l'huile et la graisse de cuisson, lorsqu'elles sont frites à haute température (généralement au-dessus de 180 degrés Celsius), subissent des réactions chimiques, produisant des aldéhydes et des oxydants nocifs. Plus on l'utilise, plus on produit de toxines. Ces substances s'infiltrent dans les aliments, provoquant chez les utilisateurs des symptômes tels que : étourdissements, nausées ou vomissements, douleurs abdominales, difficultés respiratoires, ralentissement du rythme cardiaque, hypertension artérielle...
L’huile réutilisée peut facilement produire des substances toxiques.
Vous pouvez limiter votre consommation de substances nocives en prenant la bonne quantité d’huile/graisse et en l’utilisant une seule fois. En cas de nécessité de réutiliser l'huile de cuisson, il est nécessaire de reconnaître le moment où l'huile libère des radicaux libres nocifs pour les éviter : l'huile de tournesol est à 246 O C, l'huile de soja est à 241 O C, l'huile de Canala est à 238 O C, l'huile d'olive est à 190 O C...
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