Dans quelques jours, la Coupe du monde féminine 2023 débutera officiellement en Nouvelle-Zélande et en Australie.
Huynh Nhu et ses coéquipières s'entraînent en vue de la Coupe du monde féminine 2023. (Photo : VFF).
Pour sa première participation sur le plus grand terrain de jeu du monde, l'équipe féminine vietnamienne s'est retrouvée dans un groupe difficile avec la présence des États-Unis, champions en titre, des Pays-Bas, finalistes actuels, et du Portugal.
Les experts estiment que les chances de l'entraîneur Mai Duc Chung et de son équipe de progresser ne sont pas élevées.
L'ancien entraîneur de Ha Tay s'est également modestement fixé comme objectif de marquer des buts.
Cependant, les joueuses vietnamiennes ne manqueront certainement pas cette occasion de se présenter aux recruteurs.
La Coupe du monde est un événement où de nombreuses équipes du monde entier envoient leurs yeux et leurs oreilles pour observer et rechercher des joueurs.
S'ils jouent bien et démontrent leurs capacités, Thanh Nha et ses coéquipiers pourraient être ciblés par des clubs asiatiques et même européens.
En fait, choisir des joueurs d’Asie, en particulier issus de pays en développement comme le Vietnam, permettra d’économiser beaucoup de coûts, mais l’efficacité n’est pas nécessairement faible.
Nous pouvons prendre comme exemple le cas de Huynh Nhu. Elle a rejoint le Lank FC (Portugal) et est devenue un pilier de cette équipe.
Cependant, le salaire du capitaine de l'équipe féminine vietnamienne n'est que d'environ 1 000 USD, un chiffre très confortable.
Récemment, Thanh Nha aurait reçu beaucoup d’attention de la part des équipes de football étrangères.
Même une équipe de football en France a évoqué la possibilité de la recruter au Hanoi Wantabe Club.
Si la joueuse de Thuong Tin réalise de bonnes performances lors des prochains matchs, elle aura également un avantage dans le processus de négociation.
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