Les États-Unis, le Royaume-Uni et huit alliés ont déclaré le 12 janvier que leurs frappes aériennes conjointes contre des cibles rebelles houthis au Yémen visaient à rétablir la « stabilité dans la mer Rouge ».
Récemment, les rebelles houthis au Yémen ont continuellement attaqué et attaqué des navires commerciaux liés à Israël traversant la mer Rouge, dans le contexte de l’escalade du conflit entre Israël et le Hamas. (Source : Getty Images) |
Dans une déclaration conjointe, les gouvernements des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de l'Australie, de Bahreïn, du Canada, du Danemark, de l'Allemagne, des Pays-Bas, de la Nouvelle-Zélande et de la Corée du Sud ont déclaré que leur objectif était de réduire les tensions et de rétablir la stabilité dans la mer Rouge.
Dans le même temps, elle a affirmé sa volonté de protéger la libre circulation des échanges sur l’une des voies navigables les plus importantes du monde contre les menaces.
Selon la déclaration de 10 pays, plus de deux douzaines d'attaques contre des navires commerciaux par les Houthis depuis la mi-novembre constituent un défi international.
Cette déclaration démontre l’engagement commun des deux pays en faveur de la liberté de navigation, du commerce international et de la protection de la vie des marins contre les attaques illégales et injustifiées.
Le même jour, la Grande-Bretagne a affirmé que sa réponse aux attaques des Houthis contre des navires commerciaux internationaux en mer Rouge était conforme au droit international.
Le gouvernement britannique a souligné dans sa déclaration : « En vertu du droit international, le Royaume-Uni est autorisé à recourir à la force dans des circonstances où la légitime défense est la seule mesure possible et nécessaire pour répondre proportionnellement à une attaque armée réelle ou imminente. »
Le communiqué indique également que le gouvernement britannique fera rapport à l'Assemblée générale des Nations Unies sur sa réponse à la situation tendue dans la mer Rouge.
(selon Arab News Pakistan)
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